Deux années après la sortie d'un premier opus, le studio de développement australien Krome Studios tente de se démarquer de la multitude de jeux de plateformes sur le marché avec TY the Tasmanian Tiger 2: Bush Rescue.
L'histoire débute peu après la fin du premier titre de la série. Aidé par sa bande de reptiles, Cass réussit à s'évader de prison et crée sa propre nation se donnant ainsi l'immunité diplomatique lui permettant de contrer les lois à sa guise sans être arrêté. Pour l'aider à combattre cette bande de vilains, TY utilise deux boomerangs comme armes. En accumulant des gemmes, vous pourrez acquérir de nouveaux boomerangs plus puissants et aussi différents types de véhicules vous permettant d'aller sous l'eau ou de vous promener sur la lave par exemple. Les missions sont assez variées. Vous pouvez aussi participer à des courses de kart entre vos missions ainsi qu'à plusieurs missions secondaires. Le scénario laisse perplexe. La plupart des missions n'ont absolument aucun lien avec votre ennemi Cass. Seules quelques rares apparitions de ce malfrat viennent nous rappeler qu'en fin de compte le but est de l'empêcher de mettre à exécution ses plans maléfiques. Il en résulte une certaine confusion de la part du joueur. Il devient donc très difficile d'embarquer dans l'histoire et de s'attacher à notre personnage.
Une cinquantaine de missions sont offertes et vous pouvez calculer un peu moins de quinze heures pour compléter ce titre. Un jeu de course est aussi offert en bonus où vous pouvez affronter vos amis à travers sept différentes pistes. Il est dommage que ce mode ne puisse être joué qu'à deux joueurs, l'expérience aurait été beaucoup plus plaisante à quatre joueurs. La jouabilité est excellente, il est très facile de contrôler notre personnage et les problèmes de caméra sont peu présents. La réalisation technique de ce titre est assez décevante, les environnements sont variés et très colorés, mais manquent cruellement de détails. Même chose pour la trame sonore. Bien qu'elle soit très bien encodée en surround, la musique reste très répétitive et ajoute peu à l'ambiance.
Sans être un mauvais jeu, TY 2 n'offre rien d'exceptionnel. Disponible sur toutes les consoles, il sera vite oublié sur la PlayStation 2, à cause de Jak III et Ratchet & Clank 3, mais pourrait intéresser des joueurs sur la Xbox et la GameCube. Par son niveau de difficulté minime et aussi avec le fait que le joueur dispose d'un nombre illimité de vies, ce titre convient parfaitement aux plus jeunes joueurs.
L'histoire débute peu après la fin du premier titre de la série. Aidé par sa bande de reptiles, Cass réussit à s'évader de prison et crée sa propre nation se donnant ainsi l'immunité diplomatique lui permettant de contrer les lois à sa guise sans être arrêté. Pour l'aider à combattre cette bande de vilains, TY utilise deux boomerangs comme armes. En accumulant des gemmes, vous pourrez acquérir de nouveaux boomerangs plus puissants et aussi différents types de véhicules vous permettant d'aller sous l'eau ou de vous promener sur la lave par exemple. Les missions sont assez variées. Vous pouvez aussi participer à des courses de kart entre vos missions ainsi qu'à plusieurs missions secondaires. Le scénario laisse perplexe. La plupart des missions n'ont absolument aucun lien avec votre ennemi Cass. Seules quelques rares apparitions de ce malfrat viennent nous rappeler qu'en fin de compte le but est de l'empêcher de mettre à exécution ses plans maléfiques. Il en résulte une certaine confusion de la part du joueur. Il devient donc très difficile d'embarquer dans l'histoire et de s'attacher à notre personnage.
Une cinquantaine de missions sont offertes et vous pouvez calculer un peu moins de quinze heures pour compléter ce titre. Un jeu de course est aussi offert en bonus où vous pouvez affronter vos amis à travers sept différentes pistes. Il est dommage que ce mode ne puisse être joué qu'à deux joueurs, l'expérience aurait été beaucoup plus plaisante à quatre joueurs. La jouabilité est excellente, il est très facile de contrôler notre personnage et les problèmes de caméra sont peu présents. La réalisation technique de ce titre est assez décevante, les environnements sont variés et très colorés, mais manquent cruellement de détails. Même chose pour la trame sonore. Bien qu'elle soit très bien encodée en surround, la musique reste très répétitive et ajoute peu à l'ambiance.
