L'agent secret Sam Fisher est de retour dans Chaos Theory, troisième opus de la prestigieuse série Splinter Cell qui se distingue par ses histoires étoffées et sa jouabilité sans reproche. Le meilleur titre de la série.
À l'aube d'une menace terroriste aux États-Unis, le président fait appel à l'agence privée Displace pour assurer sa protection. Ayant certains doutes concernant cette agence, Sam Fisher et ses acolytes mènent une enquête qui confirme leurs soupçons. Ce qui semblait être uniquement qu'une attaque cybernétique tourne au cauchemar lorsqu'une menace bien plus inquiétante se pointe à l'horizon. Un navire de guerre américain a été attaqué dans la mer Jaune et selon toute vraisemblance, la Corée du Nord serait impliquée. Comme la Corée du Nord possède l'armement atomique, le président des États-Unis est incertain des mesures à prendre. Il envoi donc Sam Fisher pour qu'il découvre le responsable de ces actes terroristes et ainsi anéantir les chances d'une possible 3e guerre mondiale.
Souvent, après quelques suites, la qualité des jeux diminue, mais ce n'est pas le cas de ce 3e opus qui s'avère le meilleur de la série Splinter Cell. Plusieurs rebondissements tiennent les joueurs en haleine du début à la fin. L'intelligence artificielle a encore une fois été améliorée, surtout au niveau de difficulté le plus élevé. Ubisoft a laissé de côté l'ancienne méthode pour ouvrir les portes munies d'un code de sécurité. Auparavant, les joueurs devait se dépêcher pour prendre les empreintes thermiques des gardes sinon il était impossible de franchir la porte, ce qui était plus frustrant que difficile pour les joueurs. Maintenant, les joueurs peuvent tout simplement pirater le code de la porte. Côté armement, Sam possède encore son pistolet et son fusil SC-20K en plus de son nouveau couteau de poche qui sert à couper des tissus mais aussi à tuer des ennemis de manière beaucoup plus discrète.
Le mode multijoueur des espions versus les mercenaires est de retour. Dans ce mode, les espions, qui n'ont aucune arme à feu, doivent user de stratégie pour exécuter diverses tâches. Les mercenaires, solidement armés, doivent les empêcher, mais ceux-ci n'ont pas de lunettes de vision nocturne et doivent donc se contenter d'une simple lampe de poche. Un deuxième mode multijoueurs, le mode coopératif, permet à deux joueurs de faire une nouvelle histoire complètement différente de celle en solo. Dans ce mode, les joueurs profitent des nouveaux mouvements coopératifs pour découvrir une toute nouvelle expérience de jeu. Tout comme le mode solo, les joueurs peuvent réussir les missions en tirant sur tout ce qui bouge ou en utilisant la stratégie et la discrétion pour tenter d'obtenir une note parfaite de 100% pour chaque mission, ce qui rehausse énormément la durée de vie du jeu.
Splinter Cell: Chaos Theory comporte quelques bogues très mineurs. Certaines parties des corps de nos ennemis neutralisés passent encore à travers les murs et il arrive à certaines occasions que les voix et les textes passent du français à l'anglais sans raison. Heureusement, ces petits bogues n'affectent pas la jouabilité de ce petit chef d'œuvre visuel. Chaos Theory, disponible sur toutes les plateformes à l'exception de la PSP, est un peu plus violent et possède un langage plus vulgaire que les deux opus précédents, passant de la cote «T» pour adolescent à la cote «M» pour adulte.
À l'aube d'une menace terroriste aux États-Unis, le président fait appel à l'agence privée Displace pour assurer sa protection. Ayant certains doutes concernant cette agence, Sam Fisher et ses acolytes mènent une enquête qui confirme leurs soupçons. Ce qui semblait être uniquement qu'une attaque cybernétique tourne au cauchemar lorsqu'une menace bien plus inquiétante se pointe à l'horizon. Un navire de guerre américain a été attaqué dans la mer Jaune et selon toute vraisemblance, la Corée du Nord serait impliquée. Comme la Corée du Nord possède l'armement atomique, le président des États-Unis est incertain des mesures à prendre. Il envoi donc Sam Fisher pour qu'il découvre le responsable de ces actes terroristes et ainsi anéantir les chances d'une possible 3e guerre mondiale.
Souvent, après quelques suites, la qualité des jeux diminue, mais ce n'est pas le cas de ce 3e opus qui s'avère le meilleur de la série Splinter Cell. Plusieurs rebondissements tiennent les joueurs en haleine du début à la fin. L'intelligence artificielle a encore une fois été améliorée, surtout au niveau de difficulté le plus élevé. Ubisoft a laissé de côté l'ancienne méthode pour ouvrir les portes munies d'un code de sécurité. Auparavant, les joueurs devait se dépêcher pour prendre les empreintes thermiques des gardes sinon il était impossible de franchir la porte, ce qui était plus frustrant que difficile pour les joueurs. Maintenant, les joueurs peuvent tout simplement pirater le code de la porte. Côté armement, Sam possède encore son pistolet et son fusil SC-20K en plus de son nouveau couteau de poche qui sert à couper des tissus mais aussi à tuer des ennemis de manière beaucoup plus discrète.
Le mode multijoueur des espions versus les mercenaires est de retour. Dans ce mode, les espions, qui n'ont aucune arme à feu, doivent user de stratégie pour exécuter diverses tâches. Les mercenaires, solidement armés, doivent les empêcher, mais ceux-ci n'ont pas de lunettes de vision nocturne et doivent donc se contenter d'une simple lampe de poche. Un deuxième mode multijoueurs, le mode coopératif, permet à deux joueurs de faire une nouvelle histoire complètement différente de celle en solo. Dans ce mode, les joueurs profitent des nouveaux mouvements coopératifs pour découvrir une toute nouvelle expérience de jeu. Tout comme le mode solo, les joueurs peuvent réussir les missions en tirant sur tout ce qui bouge ou en utilisant la stratégie et la discrétion pour tenter d'obtenir une note parfaite de 100% pour chaque mission, ce qui rehausse énormément la durée de vie du jeu.
