Les célèbres frères, Alphonse et Edward Elric continuent leur apprentissage de l'alchimie dans ce deuxième opus. Profitant de leur présence dans la ville frontalière de Lior, nos héros enquêtent sur un mystérieux culte qui y sévit.
Un deuxième jeu de Fullmetal Alchemist, en moins d'un an! On peut dire que Square Enix nous gâte! La compagnie ne perd aucun temps à rentabiliser cette franchise, et déjà un troisième titre est annoncé prochainement pour le Japon. Le produit, basé sur une série populaire de dessins animés, raconte les mésaventures de deux jeunes frères alchimistes. Si vous connaissez, vous savez déjà que la bagarre et l'aventure seront au rendez-vous. Les frères Elric forment un duo assez spécial. Alphonse se présente comme une grosse armure métallique habitée par l'âme d'un enfant timide, tandis qu'Edward, notre alter ego dans le jeu, est le stéréotype parfait de l'ado qui refuse de s'en laisser imposer par personne. C'est lui, le chef, le Fullmetal Alchemist; un surnom qu'il doit à son bras et à sa jambe en métal… Son ambition de grandir et d'être le plus fort, n'est surpassée que par son désir de restaurer son corps. Peu de choses ont changé depuis le jeu précédent. Les modèles et les décors m'ont paru moins variés, mais la qualité visuelle a été maintenue dans son ensemble. J'ai surtout apprécié la meilleure intégration des nombreuses transitions entre les séquences en animation traditionnelle, les dialogues imagés en 2D, et les cinématiques en 3D. De plus, l'histoire est plus captivante, maintenant que tous les dialogues du jeu sont lus par les comédiens de la série télévisée.
En ce qui concerne le système de combat, il demeure amusant et efficace. Lorsqu'il se bat à mains nues, Edward réagit rapidement; il fait des attaques combinées avec Alphonse, des blocages, des coups spéciaux, et, suprême délice, il peut même frapper les adversaires déjà au tapis. Lors de notre progression, à chacun des tiers du jeu, Edward développe la capacité de matérialiser un nouveau type d'arme (épée, marteau et lance) à partir du sol. D'autres armes plus complexes peuvent être forgées à partir de certains éléments du décor. Des poubelles et des tuyaux se transforment ainsi en grenades, en arbalète ou en char d'assaut. Cette puissance de feu supplémentaire est la bienvenue, car les adversaires nous attaquent en groupe et ils reçoivent des renforts de tous les côtés. Cela donne des bagarres assez mouvementées, où il faut courir partout et frapper tout ce qui bouge. On lève des colonnes de pierre pour les basculer sur l'ennemi; on pousse des boulets géants qui rebondissent partout, au risque d'endommager nos héros. C'est fou! Parfois, il suffit d'activer des aspirateurs et tous les vilains s'y agglutinent; on balance quelques grenades et bonjour la visite! Si vous êtes moyennement habile, dix ou quinze heures sont nécessaires pour traverser le jeu une première fois. Mais si vous prenez le temps de maximiser convenablement les attributs des deux alchimistes, et débarrer tous les extra, il faut prévoir le double du temps.
Ceux qui ignorent encore tout de l'univers des frères Elric ont avec Curse Of The Crimson Elixir une excellente occasion de le découvrir. En effet, cette histoire précède celle du premier jeu et le disque est accompagné d'un DVD boni contenant deux épisodes de la série animée. Malgré toutes ses améliorations, le produit a conservé quelques petits défauts, comme une intelligence artificielle peu évoluée et l'absence de réticule lors de l'utilisation des armes à longue portée. Certains joueurs trouveront aussi que le jeu est trop court et trop facile, mais ces peccadilles ne suffisent pas à gâcher notre plaisir. Ceux qui comme moi ont bien aimé le premier titre, vont sûrement adorer ce second opus.
Un deuxième jeu de Fullmetal Alchemist, en moins d'un an! On peut dire que Square Enix nous gâte! La compagnie ne perd aucun temps à rentabiliser cette franchise, et déjà un troisième titre est annoncé prochainement pour le Japon. Le produit, basé sur une série populaire de dessins animés, raconte les mésaventures de deux jeunes frères alchimistes. Si vous connaissez, vous savez déjà que la bagarre et l'aventure seront au rendez-vous. Les frères Elric forment un duo assez spécial. Alphonse se présente comme une grosse armure métallique habitée par l'âme d'un enfant timide, tandis qu'Edward, notre alter ego dans le jeu, est le stéréotype parfait de l'ado qui refuse de s'en laisser imposer par personne. C'est lui, le chef, le Fullmetal Alchemist; un surnom qu'il doit à son bras et à sa jambe en métal… Son ambition de grandir et d'être le plus fort, n'est surpassée que par son désir de restaurer son corps. Peu de choses ont changé depuis le jeu précédent. Les modèles et les décors m'ont paru moins variés, mais la qualité visuelle a été maintenue dans son ensemble. J'ai surtout apprécié la meilleure intégration des nombreuses transitions entre les séquences en animation traditionnelle, les dialogues imagés en 2D, et les cinématiques en 3D. De plus, l'histoire est plus captivante, maintenant que tous les dialogues du jeu sont lus par les comédiens de la série télévisée.
En ce qui concerne le système de combat, il demeure amusant et efficace. Lorsqu'il se bat à mains nues, Edward réagit rapidement; il fait des attaques combinées avec Alphonse, des blocages, des coups spéciaux, et, suprême délice, il peut même frapper les adversaires déjà au tapis. Lors de notre progression, à chacun des tiers du jeu, Edward développe la capacité de matérialiser un nouveau type d'arme (épée, marteau et lance) à partir du sol. D'autres armes plus complexes peuvent être forgées à partir de certains éléments du décor. Des poubelles et des tuyaux se transforment ainsi en grenades, en arbalète ou en char d'assaut. Cette puissance de feu supplémentaire est la bienvenue, car les adversaires nous attaquent en groupe et ils reçoivent des renforts de tous les côtés. Cela donne des bagarres assez mouvementées, où il faut courir partout et frapper tout ce qui bouge. On lève des colonnes de pierre pour les basculer sur l'ennemi; on pousse des boulets géants qui rebondissent partout, au risque d'endommager nos héros. C'est fou! Parfois, il suffit d'activer des aspirateurs et tous les vilains s'y agglutinent; on balance quelques grenades et bonjour la visite! Si vous êtes moyennement habile, dix ou quinze heures sont nécessaires pour traverser le jeu une première fois. Mais si vous prenez le temps de maximiser convenablement les attributs des deux alchimistes, et débarrer tous les extra, il faut prévoir le double du temps.
