Suite indirecte au premier volet, également produit par Gas-Powered Games et distribué par Microsoft Games, Dungeon Siege II reproduit fidèlement l'expérience de jeu du premier opus, avec ses avantages... et inconvénients!
Pour ceux qui ne connaissent pas le premier volet, Dungeon Siege est un jeu de rôle basé sur la composition d'un groupe de personnages dirigé par votre propre création. La mécanique de combat est d'ailleurs assez simple (on pointe et on clique, attaquant ainsi avec l'arme active), peu importe le style d'attaque choisi (on en retrouve 4 types différents: mêlée, à distance, magie de combat et magie de la nature). Côté création de votre héros, la mécanique est assez élémentaire; vous choisissez votre race (qui influencera légèrement votre progression) et votre sexe, puis vous modifiez légèrement le visuel de votre avatar; vous êtes alors prêts à jouer. Le jeu débute alors avec le classique tutoriel, montrant les différents contrôles du jeu; pour les plus chevronnés, celui-ci est d'ailleurs un peu long et ennuyant, mais il sera pratique pour les joueurs débutants.
Qui dit jeu de rôle dit progression de votre personnage. Dans Dungeon Siege II, cette progression est directement influencée par votre style de jeu, c'est-à-dire que si vous utilisez un arc fréquemment, vous deviendrez meilleur à l'attaque à distance. Cette méthode a ses avantages (plus réalistes) et ses inconvénients. Ainsi, si vous trouvez une épée extraordinaire mais n'êtes pas doué pour le combat rapproché, elle ne vous servira pas vraiment puisque la mécanique du jeu favorise l'expertise dans une classe précise; en effet, plus vous montez de niveau dans un type, plus vous devenez puissant et ce, de façon très intéressante. Du côté graphique, rien à reprocher. Les environnements sont généralement beaux, les textures riches et détaillées et les effets de particules sont particulièrement bien réussis. La variété parmi les (nombreux!) objets ramassés est également remarquable. Côté scénario, on ne réinvente pas la roue : il est classique mais suffisamment captivant pour vouloir mener le jeu à terme. En résumé, vous êtes mercenaire à la solde du gros méchant Valdis mais, une fois le pot-au-rose découvert, vous décidez de changer de camp et de triompher de celui-ci.
En conclusion, Dungeon Siege II est un jeu honnête. Ma grosse déception se situe au niveau du balancement de la difficulté; il n'est pas rare de rencontrer un opposant beaucoup plus fort que vous et que la tactique "j'attaque / je me replie / je me guérit / je recommence" est alors nécessaire, ce qui rend le jeu un peu plus long et laborieux que nécessaire. Donc, si vous êtes amateur du genre, Dungeon Siege II est une solution adéquate, surtout si vous avez apprécié le premier opus. Pour les joueurs occasionnels, les 40 à 60 heures de jeux nécessaires au dénouement de l'histoire risquent de vous décourager.
Pour ceux qui ne connaissent pas le premier volet, Dungeon Siege est un jeu de rôle basé sur la composition d'un groupe de personnages dirigé par votre propre création. La mécanique de combat est d'ailleurs assez simple (on pointe et on clique, attaquant ainsi avec l'arme active), peu importe le style d'attaque choisi (on en retrouve 4 types différents: mêlée, à distance, magie de combat et magie de la nature). Côté création de votre héros, la mécanique est assez élémentaire; vous choisissez votre race (qui influencera légèrement votre progression) et votre sexe, puis vous modifiez légèrement le visuel de votre avatar; vous êtes alors prêts à jouer. Le jeu débute alors avec le classique tutoriel, montrant les différents contrôles du jeu; pour les plus chevronnés, celui-ci est d'ailleurs un peu long et ennuyant, mais il sera pratique pour les joueurs débutants.
Qui dit jeu de rôle dit progression de votre personnage. Dans Dungeon Siege II, cette progression est directement influencée par votre style de jeu, c'est-à-dire que si vous utilisez un arc fréquemment, vous deviendrez meilleur à l'attaque à distance. Cette méthode a ses avantages (plus réalistes) et ses inconvénients. Ainsi, si vous trouvez une épée extraordinaire mais n'êtes pas doué pour le combat rapproché, elle ne vous servira pas vraiment puisque la mécanique du jeu favorise l'expertise dans une classe précise; en effet, plus vous montez de niveau dans un type, plus vous devenez puissant et ce, de façon très intéressante. Du côté graphique, rien à reprocher. Les environnements sont généralement beaux, les textures riches et détaillées et les effets de particules sont particulièrement bien réussis. La variété parmi les (nombreux!) objets ramassés est également remarquable. Côté scénario, on ne réinvente pas la roue : il est classique mais suffisamment captivant pour vouloir mener le jeu à terme. En résumé, vous êtes mercenaire à la solde du gros méchant Valdis mais, une fois le pot-au-rose découvert, vous décidez de changer de camp et de triompher de celui-ci.
