Après avoir connu beaucoup de succès l'année dernière avec Burnout 3: Takedown, Electronic Arts revient à la charge avec Burnout Revenge, qui offre des circuits encore plus propices aux accidents spectaculaires.
Encore fort spectaculaire, Burnout Revenge offre une expérience de jeu sensiblement identique à son prédécesseur. Tout comme les opus précédents, la carrière solo est très accrocheuse. Elle permet aux joueurs de gravir des échelons jusqu'au rang «élite». En grimpant les échelons, vous débloquez des nouvelles voitures et des nouveaux circuits. Les modes «Race», «Road Rage» et «Crash Party» sont de retour auquel s'ajoute un nouveau mode «Traffic Attack». Ce mode est assez rigolo puisqu'il permet de tamponner le plus de véhicule possible durant la course. La fonction «Crashbreaker», disponible uniquement lors des «Crash Party» dans l'opus précédent, est dorénavant accessible dans les autres modes de jeux. Cette fonction fait exploser votre véhicule pour obtenir un maximum de dégâts lors d'un accident. Les modes de jeux en ligne ont été légèrement modifiés. Maintenant, les modes fonctionnent comme la carrière solo, c'est-à-dire, plus vous jouez, plus vous débloquerez de voitures et de circuits.
Une fois de plus, la présentation d'un jeu d'Electronic Arts est sans reproche. Les décors sont à couper le souffle et les effets lumineux sont impeccables. Les explosions lors des «Crash Party» sont également très réussies. Les joueurs peuvent profiter du ralenti pour voir les voitures voler en éclat. Le jeu est également très solide au niveau des effets sonores et la trame sonore techno-rock est très appropriée pour ce genre de jeu. Les différents circuits sont truffés de raccourcis, ce qui demande beaucoup de pratique et stratégie car certains peuvent devenir des détours lorsque vous faites les circuits à contre-sens. Les multiplicateurs, présents lors des «Crash Party» dans Burnout 3, ont été enlevé, ce qui est plutôt déplorable, car ils augmentaient le niveau de stratégie pour atteindre des pointages plus élevés. Un seul bogue afflige le jeu. Lorsque vous sélectionnez le mode de jeu en ligne, le jeu fige parfois avant de débuter une course.
Burnout Revenge est d'une qualité comparable à Burnout 3: Takedown. Ce dernier s'était classé au 2e rang dans notre classement des meilleurs jeux multiplateformes en 2004. Le jeu est très accrocheur grâce à la diversité des différents modes de jeux, autant en ligne que hors ligne. Le jeu a une excellente durée de vie pour un jeu de course. Vous devez prévoir plus de 25 heures pour compléter la carrière solo à 100% et environ 20 heures pour tout déverrouiller dans les modes de jeux en ligne. Burnout Revenge est une valeur sûre à posséder dans votre collection.
Encore fort spectaculaire, Burnout Revenge offre une expérience de jeu sensiblement identique à son prédécesseur. Tout comme les opus précédents, la carrière solo est très accrocheuse. Elle permet aux joueurs de gravir des échelons jusqu'au rang «élite». En grimpant les échelons, vous débloquez des nouvelles voitures et des nouveaux circuits. Les modes «Race», «Road Rage» et «Crash Party» sont de retour auquel s'ajoute un nouveau mode «Traffic Attack». Ce mode est assez rigolo puisqu'il permet de tamponner le plus de véhicule possible durant la course. La fonction «Crashbreaker», disponible uniquement lors des «Crash Party» dans l'opus précédent, est dorénavant accessible dans les autres modes de jeux. Cette fonction fait exploser votre véhicule pour obtenir un maximum de dégâts lors d'un accident. Les modes de jeux en ligne ont été légèrement modifiés. Maintenant, les modes fonctionnent comme la carrière solo, c'est-à-dire, plus vous jouez, plus vous débloquerez de voitures et de circuits.
Une fois de plus, la présentation d'un jeu d'Electronic Arts est sans reproche. Les décors sont à couper le souffle et les effets lumineux sont impeccables. Les explosions lors des «Crash Party» sont également très réussies. Les joueurs peuvent profiter du ralenti pour voir les voitures voler en éclat. Le jeu est également très solide au niveau des effets sonores et la trame sonore techno-rock est très appropriée pour ce genre de jeu. Les différents circuits sont truffés de raccourcis, ce qui demande beaucoup de pratique et stratégie car certains peuvent devenir des détours lorsque vous faites les circuits à contre-sens. Les multiplicateurs, présents lors des «Crash Party» dans Burnout 3, ont été enlevé, ce qui est plutôt déplorable, car ils augmentaient le niveau de stratégie pour atteindre des pointages plus élevés. Un seul bogue afflige le jeu. Lorsque vous sélectionnez le mode de jeu en ligne, le jeu fige parfois avant de débuter une course.
