The Elder Scrolls IV: Oblivion, jeu de rôle exclusivement solo comme l'intégralité de la série, est le dernier arrivant d'une longue lignée. Il s'agit d'un titre exceptionnel, qui mérite bien les nombreuses éloges qu'il reçoit.
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En 1994, la série The Elder Scrolls surgit de nulle part avec The Elder Scrolls: Arena, qui contre toutes attentes obtint le titre de jeu de rôle de l'année. En 1996, Bethesda répéta l'exploit avec The Elder Scrolls: Daggerfall, qui fut acclamé par la critique et reçut lui aussi le titre de jeu de rôle de l'année. Définitivement sous pression, The Elder Scrolls III: Morrowind prévu pour 1999, fut retardé jusqu'en 2002. A la grande surprise des joueurs, Morrowind fut d'abord disponible sur la console Xbox, puis ensuite sur PC, avec en prime des outils de construction de contenu. Morrowind se mérita le titre de jeu de l'année et de jeu de rôle de l'année 2002 en plus d'offrir pour la première fois deux expansions officielles: Tribunal et Bloodmoon. The Elder Scrolls IV : Oblivion, disponible depuis peu sur PC et Xbox 360, était attendu de pied ferme par les adeptes du genre. Bethesda a fait de l'excellent boulot, si bien que le jeu s'est déjà écoulé à plus de 1,7 millions d'exemplaires en quelques semaines seulement.
Oblivion se déroule dans la province de Cyrodiil, où nous devons combattre l'invasion des Daedras, suite à la mort de l'empereur. Comme c'est la coutume dans cette série, l'histoire débute en prison, cette fois sous le fort de la garnison de la Cité Impériale. Fuyant des assassins, l'Empereur doit évacuer par un passage secret se trouvant dans la cellule dans laquelle le joueur est enfermé. Malheureusement, l'Empereur et ces gardiens ne sont pas en mesure de repousser l'attaque et l'Empereur, mortellement touché, nous remet l'Amulette des Rois. Les portes du Néant, maintenues fermées par la volonté de l'Empereur à l'aide de l'amulette sont maintenant ouvertes un peu partout sur le continent. Le trône est maintenant sans héritier et l'amulette en notre possession, il est donc de notre ressort de trouver un nouvel héritier au trône et de ramener l'équilibre sur Cyrodiil.
Les joueurs retrouveront dans Oblivion tout ce que Morrowind offrait : de vastes environnements à explorer, des donjons ici et là, un cycle du jour et de la nuit, ainsi qu'une multitude d'habiletés, telles que le vampirisme, le marchandage, l'alchimie, l'enchantement et la réparation des armes. Oblivion introduit l'Arène Impériale, où le joueur peut participer en tant que gladiateur junior et monter les rangs jusqu'au titre de champion. Il peut aussi miser son argent sur ses gladiateurs préférés. Les combats dans Oblivion sont nettement améliorés, plus physiques et plus crédibles visuellement, les notions du coup de dé et de statistiques sont bien dissimulées. Un nouvel ajout intéressant est celui de pouvoir se téléporter dans les régions déjà visitées, ou bien connues, comme les villes importantes. Ce mode de transport permet au joueur de se déplacer rapidement dans le monde et d'aller droit au but sans avoir à traverser des lieux familiers à dos de cheval durant 30 minutes.
Visuellement Oblivion est un chef d'œuvre. Tout est méticuleusement travaillé pour nous donner une atmosphère hors pair. Le jeu utilise toutes les nouveautés technologiques des engins graphiques et physiques récents (HDR, Normal Maps, Shaders 3.0, Havok). Malgré le fait que le jeu demande de posséder une machine de guerre pour bénéficier de toutes ces améliorations cosmétiques, même avec un système à peine en haut du minimum requis, le jeu offre un rendu exceptionnel. C'est probablement le jeu le plus beau à ce jour et la compétition aura à travailler très fort pour atteindre ce niveau de détail. La quête principale demandera une bonne quarantaine d'heures à compléter, mais la force de la série réside encore dans les quêtes secondaires, les alliances à forger et les trésors à retrouver. Bien des joueurs voudront investir une centaine d'heures dans ce jeu, d'autant plus que du nouveau contenu additionnel sera proposé régulièrement, soit par Bethesda à coût modique, soit par la communauté des joueurs, sans frais additionnels.
The Elder Scrolls IV: Oblivion est sans équivoque un sérieux candidat pour le titre de jeu de rôle de l'année et même de jeu de l'année. Son expérience de jeu est riche, son interface est peaufinée à souhait, il est difficile d'y trouver des défauts. Tous les adeptes du genre se doivent de faire l'essai du jeu, sur PC ou sur Xbox 360, afin de vivre un moment dans le monde de Cyrodiil.
En 1994, la série The Elder Scrolls surgit de nulle part avec The Elder Scrolls: Arena, qui contre toutes attentes obtint le titre de jeu de rôle de l'année. En 1996, Bethesda répéta l'exploit avec The Elder Scrolls: Daggerfall, qui fut acclamé par la critique et reçut lui aussi le titre de jeu de rôle de l'année. Définitivement sous pression, The Elder Scrolls III: Morrowind prévu pour 1999, fut retardé jusqu'en 2002. A la grande surprise des joueurs, Morrowind fut d'abord disponible sur la console Xbox, puis ensuite sur PC, avec en prime des outils de construction de contenu. Morrowind se mérita le titre de jeu de l'année et de jeu de rôle de l'année 2002 en plus d'offrir pour la première fois deux expansions officielles: Tribunal et Bloodmoon. The Elder Scrolls IV : Oblivion, disponible depuis peu sur PC et Xbox 360, était attendu de pied ferme par les adeptes du genre. Bethesda a fait de l'excellent boulot, si bien que le jeu s'est déjà écoulé à plus de 1,7 millions d'exemplaires en quelques semaines seulement.
Oblivion se déroule dans la province de Cyrodiil, où nous devons combattre l'invasion des Daedras, suite à la mort de l'empereur. Comme c'est la coutume dans cette série, l'histoire débute en prison, cette fois sous le fort de la garnison de la Cité Impériale. Fuyant des assassins, l'Empereur doit évacuer par un passage secret se trouvant dans la cellule dans laquelle le joueur est enfermé. Malheureusement, l'Empereur et ces gardiens ne sont pas en mesure de repousser l'attaque et l'Empereur, mortellement touché, nous remet l'Amulette des Rois. Les portes du Néant, maintenues fermées par la volonté de l'Empereur à l'aide de l'amulette sont maintenant ouvertes un peu partout sur le continent. Le trône est maintenant sans héritier et l'amulette en notre possession, il est donc de notre ressort de trouver un nouvel héritier au trône et de ramener l'équilibre sur Cyrodiil.
Les joueurs retrouveront dans Oblivion tout ce que Morrowind offrait : de vastes environnements à explorer, des donjons ici et là, un cycle du jour et de la nuit, ainsi qu'une multitude d'habiletés, telles que le vampirisme, le marchandage, l'alchimie, l'enchantement et la réparation des armes. Oblivion introduit l'Arène Impériale, où le joueur peut participer en tant que gladiateur junior et monter les rangs jusqu'au titre de champion. Il peut aussi miser son argent sur ses gladiateurs préférés. Les combats dans Oblivion sont nettement améliorés, plus physiques et plus crédibles visuellement, les notions du coup de dé et de statistiques sont bien dissimulées. Un nouvel ajout intéressant est celui de pouvoir se téléporter dans les régions déjà visitées, ou bien connues, comme les villes importantes. Ce mode de transport permet au joueur de se déplacer rapidement dans le monde et d'aller droit au but sans avoir à traverser des lieux familiers à dos de cheval durant 30 minutes.
Visuellement Oblivion est un chef d'œuvre. Tout est méticuleusement travaillé pour nous donner une atmosphère hors pair. Le jeu utilise toutes les nouveautés technologiques des engins graphiques et physiques récents (HDR, Normal Maps, Shaders 3.0, Havok). Malgré le fait que le jeu demande de posséder une machine de guerre pour bénéficier de toutes ces améliorations cosmétiques, même avec un système à peine en haut du minimum requis, le jeu offre un rendu exceptionnel. C'est probablement le jeu le plus beau à ce jour et la compétition aura à travailler très fort pour atteindre ce niveau de détail. La quête principale demandera une bonne quarantaine d'heures à compléter, mais la force de la série réside encore dans les quêtes secondaires, les alliances à forger et les trésors à retrouver. Bien des joueurs voudront investir une centaine d'heures dans ce jeu, d'autant plus que du nouveau contenu additionnel sera proposé régulièrement, soit par Bethesda à coût modique, soit par la communauté des joueurs, sans frais additionnels. 
