Vous ne prévoyez pas traverser les États-Unis en Ferrari cet été? Qu'importe, OutRun 2006: Coast to Coast offert sur PC, Xbox, PS2 et PSP, saura combler l'amateur de jeux de course de style arcade qui sommeille en vous.
OutRun 2006 est en quelque sorte une version légèrement améliorée d'OutRun 2, sorti il y a un an et demi sur la console Xbox uniquement. Il s'agit d'une réactualisation du classique OutRun de 1986, paru sur la première console de Sega. Le jeu nous permet de piloter une douzaine de modèles de Ferrari de plusieurs époques, sur des routes aux embranchements multiples et aux paysages variés. Le style est arcade, donc le réalisme est tenu à l'écart. Cela se constate entre autres par l'atteinte de vitesses folles en peu de temps, des dérapages sur de très longues distances, une traversée des États-Unis où l'on croise la Tour Eiffel et des changements de conditions climatiques radicaux aux 10 km. Le résultat est un jeu très accessible mais qui manque de profondeur à plus long terme.
Plusieurs modes de jeu sont offerts en solo et en multijoueur également. Dans tous ces modes, un compteur s'écoule en haut de l'écran et vous devez atteindre les points de contrôle à temps pour éviter qu'il tombe à zéro. Également commun à tous les modes, se trouve la structure de la piste, qui se divise régulièrement en deux routes, celle de gauche menant à une section facile et celle de droite à une plus difficile. Cela permet de traverser la piste à plusieurs reprises en parcourant des sections différentes à chaque fois. Les modes particuliers en solo sont «Coast to Coast», «OutRun», «Coup de cœur» et «Contre la montre». Le premier s'avère le plus intéressant. Vous devrez effectuer des courses contre des adversaires qui débutent devant vous sur la ligne de départ, mais aussi des courses avec une copine, qui, du siège passager, vous indiquera au fur et à mesure des objectifs à atteindre comme effectuer des dérapages, éviter des accidents, dépasser des voitures, ou encore éviter d'être enlevé par des soucoupes volantes!
Le mode «OutRun» est plus simple et vise uniquement l'atteinte de la fin de la piste à temps en dépassant des adversaires. Le mode «Coup de cœur» se concentre uniquement sur l'exécution des demandes de notre co-passagère, celles-ci étant plus variées que dans le mode «Coast to Coast». Le mode «Contre la montre», vous l'aurez deviné, vous permet de battre vos temps en affrontant une voiture fantôme. En multijoueur, vous ne pouvez jouer qu'en réseau local avec plusieurs consoles interconnectées ou en ligne. Dans les deux cas, le nombre maximum de joueurs est six. Le contrôle général de la voiture est simple et précis, mais le manque de variété dans la conduite ennuiera probablement plusieurs joueurs. Les accidents ne sont pas réalistes, mais ceci rend le jeu accessible à un public plus général. Hélas, le comportement des voitures ne varie par beaucoup d'une Ferrari à l'autre. Bien que plusieurs points de vue soient disponibles, le point de vue arrière a été oublié. Les graphismes sont beaux et le côté surréaliste général est agréable. Le son reflète très bien l'action et la musique est adéquate.
En bout de ligne, OutRun 2006 : Coast to Coast est un jeu de qualité s'adressant à un public général cherchant une expérience de jeu de course simple et efficace, mais tout de même divertissante et amusante. Les nostalgiques de l'original de 1986 y trouveront aussi de quoi se réjouir. La valeur de rejouabilité est limitée, quelques extras pouvant être débarrés, mais le coût du jeu est diminué en conséquence, celui-ci étant offert à 40$.
OutRun 2006 est en quelque sorte une version légèrement améliorée d'OutRun 2, sorti il y a un an et demi sur la console Xbox uniquement. Il s'agit d'une réactualisation du classique OutRun de 1986, paru sur la première console de Sega. Le jeu nous permet de piloter une douzaine de modèles de Ferrari de plusieurs époques, sur des routes aux embranchements multiples et aux paysages variés. Le style est arcade, donc le réalisme est tenu à l'écart. Cela se constate entre autres par l'atteinte de vitesses folles en peu de temps, des dérapages sur de très longues distances, une traversée des États-Unis où l'on croise la Tour Eiffel et des changements de conditions climatiques radicaux aux 10 km. Le résultat est un jeu très accessible mais qui manque de profondeur à plus long terme.
Plusieurs modes de jeu sont offerts en solo et en multijoueur également. Dans tous ces modes, un compteur s'écoule en haut de l'écran et vous devez atteindre les points de contrôle à temps pour éviter qu'il tombe à zéro. Également commun à tous les modes, se trouve la structure de la piste, qui se divise régulièrement en deux routes, celle de gauche menant à une section facile et celle de droite à une plus difficile. Cela permet de traverser la piste à plusieurs reprises en parcourant des sections différentes à chaque fois. Les modes particuliers en solo sont «Coast to Coast», «OutRun», «Coup de cœur» et «Contre la montre». Le premier s'avère le plus intéressant. Vous devrez effectuer des courses contre des adversaires qui débutent devant vous sur la ligne de départ, mais aussi des courses avec une copine, qui, du siège passager, vous indiquera au fur et à mesure des objectifs à atteindre comme effectuer des dérapages, éviter des accidents, dépasser des voitures, ou encore éviter d'être enlevé par des soucoupes volantes! 
Le mode «OutRun» est plus simple et vise uniquement l'atteinte de la fin de la piste à temps en dépassant des adversaires. Le mode «Coup de cœur» se concentre uniquement sur l'exécution des demandes de notre co-passagère, celles-ci étant plus variées que dans le mode «Coast to Coast». Le mode «Contre la montre», vous l'aurez deviné, vous permet de battre vos temps en affrontant une voiture fantôme. En multijoueur, vous ne pouvez jouer qu'en réseau local avec plusieurs consoles interconnectées ou en ligne. Dans les deux cas, le nombre maximum de joueurs est six. Le contrôle général de la voiture est simple et précis, mais le manque de variété dans la conduite ennuiera probablement plusieurs joueurs. Les accidents ne sont pas réalistes, mais ceci rend le jeu accessible à un public plus général. Hélas, le comportement des voitures ne varie par beaucoup d'une Ferrari à l'autre. Bien que plusieurs points de vue soient disponibles, le point de vue arrière a été oublié. Les graphismes sont beaux et le côté surréaliste général est agréable. Le son reflète très bien l'action et la musique est adéquate.
