Kate Walker a fait son choix. Elle ira au bout du rêve de Hans Voralberg et des siens. Arriveront-ils à atteindre la Sybéria? Réponse dans ce deuxième volet de Sybéria.
Sybéria II marque peut être la fin de la collaboration entre MC2-Microïds et Benoît Sokal, le bédéiste devenu artiste multimédia, mais pas la fin des aventures de Kate Walker, puisque MC2-Microïds considère de nouveaux projets basés sur ce personnage. Après un résumé du premier volet de Sybéria, les joueurs quittent Aralbad, sous un mince rideau de neige. Plutôt que de retourner dans son cabinet new-yorkais, Kate Walker a décidé de devenir la principale acolyte d'Hans Voralberg, toujours obsédé par son désir de retrouver les mammouths que tous croient disparus. En compagnie de l'automate Oscar, ils prennent la route de Romansbourg, le dernier bastion connu de la civilisation russe. Le trio explore par la suite le Passage du Grand Nord et le Village Youkol, d'où ils tentent d'atteindre la destination de leurs rêves.
On ne peut rester insensible à la qualité graphique de Sybéria II. Plusieurs améliorations sont visibles par rapport au premier chapitre. L'ajout de phénomènes météorologiques, tels que la neige et le brouillard, ainsi que les effets de réflexion sont superbement bien rendus. Les gros plans des principaux personnages permettent de les voir dans toute leur splendeur. Environ 25 personnages différents sont présents dans le jeu. L'interface du jeu demeure des plus simples, le curseur s'illuminant au passage d'objets pouvant être utilisés. La plupart des énigmes demeurent relativement faciles à résoudre pour un joueur d'expérience, bien que certaines donnent du fil à retordre. Ce qui facilite la tâche est que l'inventaire n'est pas surchargé: seuls les objets devant servir y figurent.
Sybéria II repose sur une histoire encore plus prenante, plus humaine. Hans étant malade, le jeu inculque aux joueurs le désir de le guérir promptement, afin qu'il puisse réaliser son rêve, celui d'atteindre enfin la cité mythique de Sybéria. Un grand jeu d'aventure à se procurer sans hésiter.
Sybéria II marque peut être la fin de la collaboration entre MC2-Microïds et Benoît Sokal, le bédéiste devenu artiste multimédia, mais pas la fin des aventures de Kate Walker, puisque MC2-Microïds considère de nouveaux projets basés sur ce personnage. Après un résumé du premier volet de Sybéria, les joueurs quittent Aralbad, sous un mince rideau de neige. Plutôt que de retourner dans son cabinet new-yorkais, Kate Walker a décidé de devenir la principale acolyte d'Hans Voralberg, toujours obsédé par son désir de retrouver les mammouths que tous croient disparus. En compagnie de l'automate Oscar, ils prennent la route de Romansbourg, le dernier bastion connu de la civilisation russe. Le trio explore par la suite le Passage du Grand Nord et le Village Youkol, d'où ils tentent d'atteindre la destination de leurs rêves.
On ne peut rester insensible à la qualité graphique de Sybéria II. Plusieurs améliorations sont visibles par rapport au premier chapitre. L'ajout de phénomènes météorologiques, tels que la neige et le brouillard, ainsi que les effets de réflexion sont superbement bien rendus. Les gros plans des principaux personnages permettent de les voir dans toute leur splendeur. Environ 25 personnages différents sont présents dans le jeu. L'interface du jeu demeure des plus simples, le curseur s'illuminant au passage d'objets pouvant être utilisés. La plupart des énigmes demeurent relativement faciles à résoudre pour un joueur d'expérience, bien que certaines donnent du fil à retordre. Ce qui facilite la tâche est que l'inventaire n'est pas surchargé: seuls les objets devant servir y figurent.
