Dix ans plus tard, id Software nous propose de replonger dans l'univers inquiétant de Doom. Ce troisième volet, le plus terrifiant de tous, vous entraîne dans les ténèbres, où des créatures cauchemardesques vous traquent.
Dans Doom III, vous évoluez sur une station de recherche militaire de la planète Mars. Vous êtes témoin d'un grave accident, qui permet à des forces maléfiques de décimer, à peu de choses près, tous les membres de l'imposante équipe de recherche et du service militaire. Vous devez donc vous armer de courage, charger vos armes et même aiguiser votre scie à chaîne, pour vous frayer un chemin jusqu'à la sortie. Votre parcours est entrecoupé de plusieurs séquences animées, créées à partir de l'engin graphique du jeu, afin de servir l'histoire. Aussi, vous êtes amené à récupérer les ordinateurs de poche des membres de l'équipe qui n'ont pas survécu, vous permettant de lire leurs journaux de bord et leurs courriels, ce qui vous permet de saisir les plus fins détails de l'histoire. Du même coup, vous pouvez récupérer de précieuses informations vous permettant d'accéder à certains endroits contenant munitions, armures et trousses de premiers soins. À ce niveau, Doom III s'élève bien au-dessus de plusieurs jeux de tir à la première personne, car il vous plonge corps et âme dans l'histoire et réussit à vous faire ressentir les plus petits détails.
Côté graphique, le maître incontesté du 3D, John Carmack, persiste et signe avec l'engin graphique de Doom III. Ainsi, sous les traits d'un jeu de science-fiction/horreur se cache une véritable prouesse technologique. Des effets de lumière de votre lampe de poche en passant par la complexité des monstres surgissant de tous les côtés, tout est impeccable et franchement fascinant. Bien sûr, votre ordinateur est sollicité au maximum pour ce jeu, mais n'ayez crainte: la configuration minimale proposée par l'éditeur est réaliste et vous permet d'y jouer correctement. Toutefois, n'espérez pas de miracle, une machine de guerre est requise pour savourer Doom III dans toute sa splendeur (à titre d'exemple, le mode "Ultra High Quality" peut nécessiter jusqu'à 500 Mo de textures en mémoire vive). Si votre PC n'est pas assez puissant pour satisfaire les exigences du jeu, repliez-vous sur la version Xbox qui paraîtra d'ici quelques mois.
Doom III n'est pas sans reproches. Il offre une interaction limitée avec l'environnement; les traces des armes à feu n'ont pratiquement aucun impact sur la plupart des surfaces. Le jeu vous confine dans des lieux très sombres, si bien que certains ont conçu une modification permettant de fixer la lampe de poche sur votre arme avec du "duct tape". Enfin il vous propose un mode de jeu multijoueur limité à 4 joueurs, un bonus dont on se lasse bien vite. Pour ce qui est du reste, Doom III est une réussite; frissons garantis!
Dans Doom III, vous évoluez sur une station de recherche militaire de la planète Mars. Vous êtes témoin d'un grave accident, qui permet à des forces maléfiques de décimer, à peu de choses près, tous les membres de l'imposante équipe de recherche et du service militaire. Vous devez donc vous armer de courage, charger vos armes et même aiguiser votre scie à chaîne, pour vous frayer un chemin jusqu'à la sortie. Votre parcours est entrecoupé de plusieurs séquences animées, créées à partir de l'engin graphique du jeu, afin de servir l'histoire. Aussi, vous êtes amené à récupérer les ordinateurs de poche des membres de l'équipe qui n'ont pas survécu, vous permettant de lire leurs journaux de bord et leurs courriels, ce qui vous permet de saisir les plus fins détails de l'histoire. Du même coup, vous pouvez récupérer de précieuses informations vous permettant d'accéder à certains endroits contenant munitions, armures et trousses de premiers soins. À ce niveau, Doom III s'élève bien au-dessus de plusieurs jeux de tir à la première personne, car il vous plonge corps et âme dans l'histoire et réussit à vous faire ressentir les plus petits détails.
Côté graphique, le maître incontesté du 3D, John Carmack, persiste et signe avec l'engin graphique de Doom III. Ainsi, sous les traits d'un jeu de science-fiction/horreur se cache une véritable prouesse technologique. Des effets de lumière de votre lampe de poche en passant par la complexité des monstres surgissant de tous les côtés, tout est impeccable et franchement fascinant. Bien sûr, votre ordinateur est sollicité au maximum pour ce jeu, mais n'ayez crainte: la configuration minimale proposée par l'éditeur est réaliste et vous permet d'y jouer correctement. Toutefois, n'espérez pas de miracle, une machine de guerre est requise pour savourer Doom III dans toute sa splendeur (à titre d'exemple, le mode "Ultra High Quality" peut nécessiter jusqu'à 500 Mo de textures en mémoire vive). Si votre PC n'est pas assez puissant pour satisfaire les exigences du jeu, repliez-vous sur la version Xbox qui paraîtra d'ici quelques mois.
