La série Metal Gear, précurseur d'un nouveau style de jeu où la furtivité est de mise, est de retour après trois années d'absence sur la PS2. Terminé les complexes industriels, cette fois, la jungle sauvage vous attend.
Jouer à Metal Gear Solid, c'est un peu comme regarder un film et participer aux séquences d'action. Cette nouvelle mouture ne fait pas exception aux précédentes. D'ailleurs, durant les deux premières heures de jeux, vous n'aurez le contrôle de votre personnage qu'une quinzaine de minutes. Le reste de ce temps est composé de cinématiques qui mettent en scène le contexte de la guerre froide durant les années soixante. Finis les gadgets technologiques, le mot d'ordre dans la jungle est "survie". Les pièges sont nombreux et les ennemis aussi. À l'aide des différents habits de camouflages disponibles, vous pouvez vous fondre dans le décor sans être découvert. Ceux qui possèdent l'adaptateur réseau pourront même télécharger de nouveaux habits. Le fameux radar qui permettait de voir vos ennemis est chose du passé. C'est d'ailleurs l'irritant majeur de ce titre, car vous avez souvent à utiliser la vue à la première personne pour connaître la position de vos adversaires, sinon vous serez vite démasqué. Cela ralentit la progression du jeu et augmente sa difficulté.
Une fois de plus vous aurez à sauver le monde, une nouvelle arme capable de lancer des missiles nucléaires de n'importe où est en développement et c'est à vous de la détruire. Fidèle à la série, l'environnement visuel est splendide. Les capacités de la console sont utilisées au maximum. La végétation dans la jungle est très bien rendue. Les expressions faciales des personnages sont très réalistes et contribuent grandement à l'immersion dans le scénario. La trame sonore a été réalisée par Harry Gregson-Williams, responsable des trames des films Armageddon et The Rock entre autres. Bref, elle est d'une excellente qualité. Les bruits dans la jungle sont très réalistes également. Ce nouvel opus sur la PS2 supplante aisément le précédent.
Une fois de plus, Hideo Kojima nous démontre qu'il fait parti de l'élite des créateurs de jeux vidéo. Avec son scénario béton, truffé de rebondissements, ses cinématiques à couper le souffle et son ambiance, Metal Gear Solid 3: Snake Eater est un incontournable pour la Playstation 2.
Jouer à Metal Gear Solid, c'est un peu comme regarder un film et participer aux séquences d'action. Cette nouvelle mouture ne fait pas exception aux précédentes. D'ailleurs, durant les deux premières heures de jeux, vous n'aurez le contrôle de votre personnage qu'une quinzaine de minutes. Le reste de ce temps est composé de cinématiques qui mettent en scène le contexte de la guerre froide durant les années soixante. Finis les gadgets technologiques, le mot d'ordre dans la jungle est "survie". Les pièges sont nombreux et les ennemis aussi. À l'aide des différents habits de camouflages disponibles, vous pouvez vous fondre dans le décor sans être découvert. Ceux qui possèdent l'adaptateur réseau pourront même télécharger de nouveaux habits. Le fameux radar qui permettait de voir vos ennemis est chose du passé. C'est d'ailleurs l'irritant majeur de ce titre, car vous avez souvent à utiliser la vue à la première personne pour connaître la position de vos adversaires, sinon vous serez vite démasqué. Cela ralentit la progression du jeu et augmente sa difficulté.
Une fois de plus vous aurez à sauver le monde, une nouvelle arme capable de lancer des missiles nucléaires de n'importe où est en développement et c'est à vous de la détruire. Fidèle à la série, l'environnement visuel est splendide. Les capacités de la console sont utilisées au maximum. La végétation dans la jungle est très bien rendue. Les expressions faciales des personnages sont très réalistes et contribuent grandement à l'immersion dans le scénario. La trame sonore a été réalisée par Harry Gregson-Williams, responsable des trames des films Armageddon et The Rock entre autres. Bref, elle est d'une excellente qualité. Les bruits dans la jungle sont très réalistes également. Ce nouvel opus sur la PS2 supplante aisément le précédent.
