Des graphismes impressionnants, une histoire complexe et de l'action stylisée… Devil May Cry 3 réunirait-il tous les ingrédients qui ont fait le succès du premier opus? Il pouvait difficilement faire pire que le deuxième...
Après nous avoit offert le somptueux Devil May Cry il y a près de quatre ans, puis son décevant successeur il y a deux ans, Capcom nous propose la suite des aventures de Dante. Enfin ce n'est pas vraiment une suite, car dans ce troisième volet, Capcom a décidé de présenter les origines de son héros. L'histoire dont il est question ici, précède donc les deux autres titres et se concentre sur la rivalité entre Dante et son frère jumeau Vergil. Nous retrouvons notre tueur de démons alors qu'il s'installe en ville avec les intentions d'ouvrir un commerce spécialisé dans l'extermination de créatures maléfiques. Les forces de l'Enfer n'étant pas en accord avec ce projet, elles dépêchent un groupe de représentants dans le but de mettre Dante au chômage. L'action commence aussitôt! Nous savions tous que Dante était supercool, rapide et dévastateur avec ses armes… Nous ignorions cependant à quel point il pouvait être fanfaron. C'est très drôle de le découvrir dans toute sa jeunesse, bouffant de la pizza et détruisant ses ennemis à coup de pistolets et de commentaires caustiques.
L'engin de combat est particulièrement efficace et répond instantanément à nos moindres caprices. Dante peut faire usage de ses fidèles pistolets pour attaquer à distance, mais lorsque les choses deviennent personnelles il peut combattre avec son épée. D'autres armes sont débloquées plus tard dans le jeu, un bouton nous permettant même de les changer sans passer par le menu. La grande nouveauté de Dante's Awakening est sa grande variété de styles de combats. En effet, avant chaque mission, le joueur peut sélectionner le type de bagarreur que sera Dante. Il y en quatre styles disponibles en tout temps. Il y a "Trickster", un style acrobatique idéal pour parer les coups de nos ennemis; "Swordmaster", qui améliore notre agilité avec les épées et autres objets contondants; "Gunslinger", qui amplifie les dommages causés par nos armes à feu; et "Royal guard", qui permet d'utiliser la force de l'ennemi tout en bloquant certaines attaques. Deux autres styles peuvent aussi être débarrés, lorsque nous avons maîtrisé les quatre principaux.
Laissez-moi vous dire que c'est tout un défi, car ce jeu est d'une difficulté démoniaque, ne convenant pas à de simples joueurs occasionnels. Même le mode facile, qui devient disponible si Dante succombe trois fois de suite, risque de causer des grincements de dents. Personnellement, je me suis habitué sans trop de problèmes aux confrontations avec les adversaires standards, mais lorsque j'arrivais devant un boss de niveau qui me passait à tabac, mon enthousiasme et mon plaisir s'effritaient lorsqu'il fallait tout reprendre depuis le début. La sauvegarde n'étant permise qu'à la fin des niveaux, une patience angélique est donc absolument nécessaire. Il faut prendre le temps de maximiser les attributs de notre héros et être créatif dans nos techniques de combat. Visuellement, ce jeu est honnête, les modèles des personnages sont bien réalisés et tout le monde bouge d'une façon convaincante. L'intrigue est présentée par de belles cinématiques tape à l'œil, accompagnées d'une bonne musique entraînante.
Le deux points faibles du jeu sont la petite taille des environnements et les affreux points de vues de la caméra. Trop souvent, dans ce jeu, nos ennemis se retrouvent hors champ et il faut se contenter de tirer à l'aveuglette. La plupart du temps, la caméra échappe à tout contrôle! Son comportement est excessivement imprévisible; on peut la gigoter, la brasser, mais impossible de la ramener rapidement derrière le personnage. Enfin, si vous aimez l'action et que vous vous plaignez de la facilité des jeux habituellement sur le marché, ce dernier Devil May Cry risque de vous plaire!
Après nous avoit offert le somptueux Devil May Cry il y a près de quatre ans, puis son décevant successeur il y a deux ans, Capcom nous propose la suite des aventures de Dante. Enfin ce n'est pas vraiment une suite, car dans ce troisième volet, Capcom a décidé de présenter les origines de son héros. L'histoire dont il est question ici, précède donc les deux autres titres et se concentre sur la rivalité entre Dante et son frère jumeau Vergil. Nous retrouvons notre tueur de démons alors qu'il s'installe en ville avec les intentions d'ouvrir un commerce spécialisé dans l'extermination de créatures maléfiques. Les forces de l'Enfer n'étant pas en accord avec ce projet, elles dépêchent un groupe de représentants dans le but de mettre Dante au chômage. L'action commence aussitôt! Nous savions tous que Dante était supercool, rapide et dévastateur avec ses armes… Nous ignorions cependant à quel point il pouvait être fanfaron. C'est très drôle de le découvrir dans toute sa jeunesse, bouffant de la pizza et détruisant ses ennemis à coup de pistolets et de commentaires caustiques.
L'engin de combat est particulièrement efficace et répond instantanément à nos moindres caprices. Dante peut faire usage de ses fidèles pistolets pour attaquer à distance, mais lorsque les choses deviennent personnelles il peut combattre avec son épée. D'autres armes sont débloquées plus tard dans le jeu, un bouton nous permettant même de les changer sans passer par le menu. La grande nouveauté de Dante's Awakening est sa grande variété de styles de combats. En effet, avant chaque mission, le joueur peut sélectionner le type de bagarreur que sera Dante. Il y en quatre styles disponibles en tout temps. Il y a "Trickster", un style acrobatique idéal pour parer les coups de nos ennemis; "Swordmaster", qui améliore notre agilité avec les épées et autres objets contondants; "Gunslinger", qui amplifie les dommages causés par nos armes à feu; et "Royal guard", qui permet d'utiliser la force de l'ennemi tout en bloquant certaines attaques. Deux autres styles peuvent aussi être débarrés, lorsque nous avons maîtrisé les quatre principaux.
Laissez-moi vous dire que c'est tout un défi, car ce jeu est d'une difficulté démoniaque, ne convenant pas à de simples joueurs occasionnels. Même le mode facile, qui devient disponible si Dante succombe trois fois de suite, risque de causer des grincements de dents. Personnellement, je me suis habitué sans trop de problèmes aux confrontations avec les adversaires standards, mais lorsque j'arrivais devant un boss de niveau qui me passait à tabac, mon enthousiasme et mon plaisir s'effritaient lorsqu'il fallait tout reprendre depuis le début. La sauvegarde n'étant permise qu'à la fin des niveaux, une patience angélique est donc absolument nécessaire. Il faut prendre le temps de maximiser les attributs de notre héros et être créatif dans nos techniques de combat. Visuellement, ce jeu est honnête, les modèles des personnages sont bien réalisés et tout le monde bouge d'une façon convaincante. L'intrigue est présentée par de belles cinématiques tape à l'œil, accompagnées d'une bonne musique entraînante.
