La guerre entre l'humanité et les TimeSplitters, se poursuit inlassablement! Cette fois-ci, le Sergent Cortez et ses copains remontent le temps jusqu'aux origines du conflit; dans le but de gagner une victoire définitive.
Si on se le rappelle bien, lors du deuxième épisode de la saga, Cortez avait réussi à dérober neuf cristaux temporels aux TimeSplitters… Dans Future Perfect, nous le rejoignons alors qu'il revient à la maison afin de confier cette cargaison aux savants terriens. Ce qui l'attend est un quartier général, en déroute, aux prise avec un violent assaut de TimeSplitters… On lui attache un nouveau bidule expérimental au bras droit et swoosh! C'est reparti pour une autre série de missions endiablées à travers les époques. Ce mode histoire nous offre 13 chapitres qui s'échelonnent du vingtième au vingt-cinquième siècle. Cortez y croisera de nombreux alliés, comme le Capitaine Ash et le légendaire Harry Tipper; il lui arrivera aussi de se croiser lui même avec l'aide de perturbations temporelles. Bonjour les paradoxes! Les environnements et situations pastichent, avec adresse, tous les stéréotypes du genre; nous avons droit à l'île isolée, au laboratoire secret, à l'attaque de train etc. De plus, quelle que soit notre préférence en matière de cibles, ils défilent tous dans notre collimateur : extraterrestres, fantômes, zombies, robots ou nazis!
L'interface du jeu n'a pas changée, l'action nous est présentée en mode subjectif. Lorsque nos adversaires nous tirent dessus, une barre de santé et une barre de blindage s'allument de part et d'autre du réticule. Nous changeons d'armes avec le clavier directionnel et notre arsenal apparaît dans le haut de l'écran. Quand une arme est sélectionnée, les munitions qu'elle contient sont indiquées dans le coin inférieur droit; tandis que les explosifs se cachent à gauche. Bien que l'intrigue principale nous amuse beaucoup, ce qui fait le succès de ce troisième opus c'est son abondance de modes supplémentaires et ses fonctions multijoueurs. Encore une fois, Free Radical n'a pas été avare dans le domaine. Si le mode histoire solo peut toujours se compléter en une douzaine d'heures, ceci représente à peine 10 % de la durée de vie du produit! La majorité des joueurs voudront reprendre leurs missions préférées plusieurs fois, soit seul, ou en écran partagé avec des amis. Les autres bonis non négligeables sont le mode "Arcade" où nous combattons nos amis, ou des adversaires contrôlés par ordinateur; les modes "Ligue" et "Défi " servent à améliorer nos statistiques et pratiquer nos techniques, mais ne sont accessibles qu'un seul joueur à la fois. Un mode "Réseau" permet également à huit joueurs de s'affronter, en plein écran, sur Internet ou en réseau local.
L'action se déroule dans 16 environnements originaux, avec une sélection de plus de 150 personnages et armes provenant des trois jeux de la série. Les joueurs créatifs apprécieront aussi la présence d'un éditeur de niveau qui leur servira à développer leurs propres missions et les échanger sur les serveurs d'Electronic Arts. Cet outil est assez surprenant. Malgré une documentation incomplète, un utilisateur habile peut arriver à des résultats très sophistiqués. Des missions à objectifs multiples, ou des confrontations multijoueurs complexes, tout est possible! Bien que ce jeu réussisse à nous faire rire aux éclats, cela ne veut pas dire qu'il ne représente pas un défi sérieux. L'intelligence artificielle est assez solide; les ennemis essaient d'esquiver nos balles et, selon leur degré d'agilité, ils arrivent à faire des pirouettes très spectaculaires. Quand on pense que notre pauvre Cortez ne peut pas sauter par dessus une ficelle… De plus, les restaurations de santé et de blindage sont juste assez rares pour que nous arrivions à nous sentir en péril. Signalons aussi que l'action est pimentée de quelques puzzles et séquences de combat véhiculaires; mais comme il s'agit des aspects les moins plaisants du jeu, les développeurs n‘en ont pas abusé.
Finalement à qui s'adresse se jeu? Les amateurs de la série savent déjà à quoi s'attendre; mais la simplicité du concept et l'efficacité des contrôles gardent la porte grande ouverte pour les nouveaux venus! Le joueur occasionnel devrait cependant se méfier, car Future Perfect demande un gros investissement de temps pour en retirer le plein bénéfice. Si tout ce que vous souhaitez c'est traverser une fois le mode histoire, au niveau facile, et passer au jeu suivant… une location suffit! Mais vous serez amplement récompensé, si vous avez la patience d'explorer à fond le produit et de convaincre quelques amis de se joindre à vous.
Si on se le rappelle bien, lors du deuxième épisode de la saga, Cortez avait réussi à dérober neuf cristaux temporels aux TimeSplitters… Dans Future Perfect, nous le rejoignons alors qu'il revient à la maison afin de confier cette cargaison aux savants terriens. Ce qui l'attend est un quartier général, en déroute, aux prise avec un violent assaut de TimeSplitters… On lui attache un nouveau bidule expérimental au bras droit et swoosh! C'est reparti pour une autre série de missions endiablées à travers les époques. Ce mode histoire nous offre 13 chapitres qui s'échelonnent du vingtième au vingt-cinquième siècle. Cortez y croisera de nombreux alliés, comme le Capitaine Ash et le légendaire Harry Tipper; il lui arrivera aussi de se croiser lui même avec l'aide de perturbations temporelles. Bonjour les paradoxes! Les environnements et situations pastichent, avec adresse, tous les stéréotypes du genre; nous avons droit à l'île isolée, au laboratoire secret, à l'attaque de train etc. De plus, quelle que soit notre préférence en matière de cibles, ils défilent tous dans notre collimateur : extraterrestres, fantômes, zombies, robots ou nazis! 
L'interface du jeu n'a pas changée, l'action nous est présentée en mode subjectif. Lorsque nos adversaires nous tirent dessus, une barre de santé et une barre de blindage s'allument de part et d'autre du réticule. Nous changeons d'armes avec le clavier directionnel et notre arsenal apparaît dans le haut de l'écran. Quand une arme est sélectionnée, les munitions qu'elle contient sont indiquées dans le coin inférieur droit; tandis que les explosifs se cachent à gauche. Bien que l'intrigue principale nous amuse beaucoup, ce qui fait le succès de ce troisième opus c'est son abondance de modes supplémentaires et ses fonctions multijoueurs. Encore une fois, Free Radical n'a pas été avare dans le domaine. Si le mode histoire solo peut toujours se compléter en une douzaine d'heures, ceci représente à peine 10 % de la durée de vie du produit! La majorité des joueurs voudront reprendre leurs missions préférées plusieurs fois, soit seul, ou en écran partagé avec des amis. Les autres bonis non négligeables sont le mode "Arcade" où nous combattons nos amis, ou des adversaires contrôlés par ordinateur; les modes "Ligue" et "Défi " servent à améliorer nos statistiques et pratiquer nos techniques, mais ne sont accessibles qu'un seul joueur à la fois. Un mode "Réseau" permet également à huit joueurs de s'affronter, en plein écran, sur Internet ou en réseau local.
L'action se déroule dans 16 environnements originaux, avec une sélection de plus de 150 personnages et armes provenant des trois jeux de la série. Les joueurs créatifs apprécieront aussi la présence d'un éditeur de niveau qui leur servira à développer leurs propres missions et les échanger sur les serveurs d'Electronic Arts. Cet outil est assez surprenant. Malgré une documentation incomplète, un utilisateur habile peut arriver à des résultats très sophistiqués. Des missions à objectifs multiples, ou des confrontations multijoueurs complexes, tout est possible! Bien que ce jeu réussisse à nous faire rire aux éclats, cela ne veut pas dire qu'il ne représente pas un défi sérieux. L'intelligence artificielle est assez solide; les ennemis essaient d'esquiver nos balles et, selon leur degré d'agilité, ils arrivent à faire des pirouettes très spectaculaires. Quand on pense que notre pauvre Cortez ne peut pas sauter par dessus une ficelle… De plus, les restaurations de santé et de blindage sont juste assez rares pour que nous arrivions à nous sentir en péril. Signalons aussi que l'action est pimentée de quelques puzzles et séquences de combat véhiculaires; mais comme il s'agit des aspects les moins plaisants du jeu, les développeurs n‘en ont pas abusé.
