Le studio ontarien Digital Extremes, qui a oeuvré sur la série Unreal, nous propose Pariah, une oeuvre originale, qui entraînera les joueurs dans une descente infernale. Votre dilemme: jusqu'où irez-vous pour survivre ?
Dans ce jeu de tir à la première personne futuriste, vous incarnez Jack Mason, un médecin complètement dévasté, qui a perdu l'envie de vivre, jusqu'au jour où il échappe de justesse à la mort, lorsque son vaisseau de transport est abattu pendant un banal transfert de prisonniers. Jack est sa patiente contaminée se retrouvent coincés dans une zone des plus hostiles d'une planète abandonnée qui a pour nom...la "Terre". Comble de malheur, dans seize heures, une plateforme orbitale entamera une procédure de décontamination globale em vie d'éradiquer une menace virale: une bombe de 50 mégatonnes explosera au-dessus du niveau de la mer. L'histoire est appuyée de séquences cinématiques conçues à partir de l'engin du jeu. Les développeurs ont toutefois tourné les coins ronds puisque ces cinématiques pré-rendues sont présentées en basse résolution.
La campagne solo du jeu étant plutôt expéditive, un mode multijoueur vient heureusement rehausser le produit, aussi bien sur PC que sur Xbox. Aucun logiciel supplémentaire n'étant installé, il est très aisé de joindre des parties en cours. Le jeu reposant sur une version améliorée de l'engin d'Unreal, le code réseau est bien optimisée, il est possible de jouer en-ligne à 32 joueurs sur PC et à 12 joueurs sur Xbox sans observer de ralentissements. La présence de véhicules rend se jeu agréable, ceux-ci étant simples à piloter, comme c'est le cas dans les jeux des séries Unreal Tournament et Battlefield. Là où Pariah innove vraiment, c'est au niveau des armes, qui peuvent évoluer au cours d'une partie. A l'aide de points, progressivement accumulés, les joueurs peuvent transformer leurs deux armes à leur guise. Un simple lance roquette peut ainsi être en mesure de se verrouiller sur quatre cibles à la fois.
D'un point de vue graphique, le jeu s'apparente à Unreal Tournament 2005. Les effets spéciaux sont de grande qualité. Les environnements sont toutefois répétitifs. L'intelligence des alliés et des ennemis est plutôt limitée, ces derniers ne rouspettant pas lorsqu'ils sont pris pour cible. Fait intéressant, un éditeur de carte très performant est fourni avec le jeu, aussi bien sur PC que sur Xbox. C'est donc à la communauté que revient le privilège d'enrichir ce jeu.
Dans ce jeu de tir à la première personne futuriste, vous incarnez Jack Mason, un médecin complètement dévasté, qui a perdu l'envie de vivre, jusqu'au jour où il échappe de justesse à la mort, lorsque son vaisseau de transport est abattu pendant un banal transfert de prisonniers. Jack est sa patiente contaminée se retrouvent coincés dans une zone des plus hostiles d'une planète abandonnée qui a pour nom...la "Terre". Comble de malheur, dans seize heures, une plateforme orbitale entamera une procédure de décontamination globale em vie d'éradiquer une menace virale: une bombe de 50 mégatonnes explosera au-dessus du niveau de la mer. L'histoire est appuyée de séquences cinématiques conçues à partir de l'engin du jeu. Les développeurs ont toutefois tourné les coins ronds puisque ces cinématiques pré-rendues sont présentées en basse résolution.
La campagne solo du jeu étant plutôt expéditive, un mode multijoueur vient heureusement rehausser le produit, aussi bien sur PC que sur Xbox. Aucun logiciel supplémentaire n'étant installé, il est très aisé de joindre des parties en cours. Le jeu reposant sur une version améliorée de l'engin d'Unreal, le code réseau est bien optimisée, il est possible de jouer en-ligne à 32 joueurs sur PC et à 12 joueurs sur Xbox sans observer de ralentissements. La présence de véhicules rend se jeu agréable, ceux-ci étant simples à piloter, comme c'est le cas dans les jeux des séries Unreal Tournament et Battlefield. Là où Pariah innove vraiment, c'est au niveau des armes, qui peuvent évoluer au cours d'une partie. A l'aide de points, progressivement accumulés, les joueurs peuvent transformer leurs deux armes à leur guise. Un simple lance roquette peut ainsi être en mesure de se verrouiller sur quatre cibles à la fois.
