Capcom nous propose sur la PS2 un jeu de flipper inusité. Flipnic repose sur une conception créative des environnements et propose d'accomplir des objectifs farfelus, s'éloignant des traditionnels jeux de flipper.
Bien qu'ils aient été peu à peu retirés des arcades, les flippers ont été les rois du divertissement électronique à une époque lointaine, où Williams, Gottlieb et Bally rivalisaient d'ingéniosité pour nous proposer des jeux de plus en plus complexes. Les nostalgiques des flippers et des bumpers peuvent aujourd'hui se divertir avec une multitude de reproductions de "machines à boule" sur les consoles de jeux vidéo. Flipnic intriguera bien des adeptes du genre, mais pas forcément les puristes. Il vous propose de compléter une centaine de missions dans quatre environnements de jeu différents. Ces environnements de jeux sont gigantesques et reposent sur un style différent. En tout, ce sont plus de 70 lieux qui sont proposés aux joueurs, chaque table étant composée de petites tables reliées entre elles par des rails.
Dès le départ, Flipnic accroche. La première table proposée, Biology, possède une faune colorée et une flore luxuriante. Les brèves animations vidéo, qui s'affichent lorsqu'un objectif est activé, sont agréables à regarder une première fois. Hélas, elles deviennent répétitives rapidement et finissent par lasser le joueur, car elles interrompent le déroulement du jeu constamment. Pour accéder aux tables suivantes, il faut compléter quelques objectifs (une chance, certains étant très difficiles à compléter) et vaincre un boss de niveau, une tâche qui s'avère aussi facile qu'ennuyante. Comble de malheur, Les tables suivantes sont de moins en moins intéressantes. Metallurgy contient un labyrinthe plutôt pointilleux, Optics comporte un mur circulaire de bumpers très frustrant et enfin Geometry repose sur un design 2D minimaliste qui ne plaira qu'aux nostalgiques. D'un point de vue technique, le jeu est tout de même réussit, hormis la trame musicale, qui est quelconque.
Flipnic n'est peut-être pas un chef d'oeuvre, mais puisqu'il est offert à 29,99$, Capcom n'a pas fait preuve de gourmandise. Quand vous ne mettrez pas vos aptitudes à rude épreuve en solo, vous pourrez défier un de vos amis dans des parties de Pinball Soccer ou de Pinball Basketball, deux des mini-jeux inclus avec Flipnic. Plutôt que de proposer ces mini-jeux somme toute banals, le développeur aurait dû ajouter des tables aussi riches que Biology.
Bien qu'ils aient été peu à peu retirés des arcades, les flippers ont été les rois du divertissement électronique à une époque lointaine, où Williams, Gottlieb et Bally rivalisaient d'ingéniosité pour nous proposer des jeux de plus en plus complexes. Les nostalgiques des flippers et des bumpers peuvent aujourd'hui se divertir avec une multitude de reproductions de "machines à boule" sur les consoles de jeux vidéo. Flipnic intriguera bien des adeptes du genre, mais pas forcément les puristes. Il vous propose de compléter une centaine de missions dans quatre environnements de jeu différents. Ces environnements de jeux sont gigantesques et reposent sur un style différent. En tout, ce sont plus de 70 lieux qui sont proposés aux joueurs, chaque table étant composée de petites tables reliées entre elles par des rails. 
Dès le départ, Flipnic accroche. La première table proposée, Biology, possède une faune colorée et une flore luxuriante. Les brèves animations vidéo, qui s'affichent lorsqu'un objectif est activé, sont agréables à regarder une première fois. Hélas, elles deviennent répétitives rapidement et finissent par lasser le joueur, car elles interrompent le déroulement du jeu constamment. Pour accéder aux tables suivantes, il faut compléter quelques objectifs (une chance, certains étant très difficiles à compléter) et vaincre un boss de niveau, une tâche qui s'avère aussi facile qu'ennuyante. Comble de malheur, Les tables suivantes sont de moins en moins intéressantes. Metallurgy contient un labyrinthe plutôt pointilleux, Optics comporte un mur circulaire de bumpers très frustrant et enfin Geometry repose sur un design 2D minimaliste qui ne plaira qu'aux nostalgiques. D'un point de vue technique, le jeu est tout de même réussit, hormis la trame musicale, qui est quelconque.
