Lors du Games Developers Conference en 2004, Sony avait dévoilé un premier titre en développement sur la PSP, à savoir Death Jr., afin de démontrer le potentiel de sa console portable. Le résultat final laisse songeur.
Développé par Backbone Entertainment pour le compte de Konami, Death Jr. vous propose d'incarner le rejeton de la Faucheuse, rien de moins. En ouvrant une véritable boîte de Pandore dans un musée, ce dernier libère Moloch et son armée de démons. Autre conséquence fâcheuse, les âmes de trois de ses amis ont été dérobées et fragmentées par Moloch. Si vous ne désirez pas que votre paternel vous punisse, vous devrez récupérer ces fragments, disséminés dans les neufs niveaux principaux du jeu. Le jeu comporte huit autre niveaux supplémentaires, où vous pourrez apprendre les rudiments du jeu, mais aussi compléter des missions secondaires et combattre des boss de niveaux. Le musée, qui est le point de départ de tous les niveaux, contient aussi une pièce secrète, où se sont réfugiés les frères siamois Smith et Weston. Ces derniers vous fournirons de nouvelles armes et vous permettront de les mettre à jour ou d'acquérir de nouvelles attaques au fur et à mesure que vous progresserez dans le jeu.
Bien que Death Jr. présente une brochette de personnages plutôt sympathiques, on ne peut en dire autant des niveaux du jeu, assez fades et peuplés de démons peu diversifiés. Les contrôles du jeu manquent aussi de précision, le contrôle analogique de la PSP, permettant de déplacer notre personnage, étant trop sensible. Se déplacer en ligne droite et réaliser de simples sauts devient rapidement une corvée. La caméra du jeu n'est pas non plus idéale, elle complique drôlement les combats au corps à corps. Pour les combats à distance, une visée automatique peut être activée. Puisqu'il est possible de se déplacer latéralement aisément, tout en visant des ennemis au loin, cette technique s'avère essentielle pour avoir du succès dans le jeu. Le niveau de difficulté est moyen. Certains niveaux vous donneront du fil à retordre, en partie car votre nombre de vies est limité. Vous aurez donc à recommencer quelques fois des niveaux plutôt longs.
Death Jr. n'est pas à la hauteur des attentes qu'il a sans doute suscitées. La librairie de jeux originaux de la PSP étant maigre, chaque nouveau titre ne livrant pas la marchandise déçoit donc les joueurs. En réalité, Death Jr. n'est pas un vilain jeu, il s'apparente même à Ratchet & Clank, puisqu'il est possible d'améliorer des armes loufoques comme des hamsters portant du C4. Le personnage principal du jeu est aussi attachant et possède une palette d'actions variées. L'ensemble souffre hélas d'un manque de finition.
Développé par Backbone Entertainment pour le compte de Konami, Death Jr. vous propose d'incarner le rejeton de la Faucheuse, rien de moins. En ouvrant une véritable boîte de Pandore dans un musée, ce dernier libère Moloch et son armée de démons. Autre conséquence fâcheuse, les âmes de trois de ses amis ont été dérobées et fragmentées par Moloch. Si vous ne désirez pas que votre paternel vous punisse, vous devrez récupérer ces fragments, disséminés dans les neufs niveaux principaux du jeu. Le jeu comporte huit autre niveaux supplémentaires, où vous pourrez apprendre les rudiments du jeu, mais aussi compléter des missions secondaires et combattre des boss de niveaux. Le musée, qui est le point de départ de tous les niveaux, contient aussi une pièce secrète, où se sont réfugiés les frères siamois Smith et Weston. Ces derniers vous fournirons de nouvelles armes et vous permettront de les mettre à jour ou d'acquérir de nouvelles attaques au fur et à mesure que vous progresserez dans le jeu.
Bien que Death Jr. présente une brochette de personnages plutôt sympathiques, on ne peut en dire autant des niveaux du jeu, assez fades et peuplés de démons peu diversifiés. Les contrôles du jeu manquent aussi de précision, le contrôle analogique de la PSP, permettant de déplacer notre personnage, étant trop sensible. Se déplacer en ligne droite et réaliser de simples sauts devient rapidement une corvée. La caméra du jeu n'est pas non plus idéale, elle complique drôlement les combats au corps à corps. Pour les combats à distance, une visée automatique peut être activée. Puisqu'il est possible de se déplacer latéralement aisément, tout en visant des ennemis au loin, cette technique s'avère essentielle pour avoir du succès dans le jeu. Le niveau de difficulté est moyen. Certains niveaux vous donneront du fil à retordre, en partie car votre nombre de vies est limité. Vous aurez donc à recommencer quelques fois des niveaux plutôt longs.
