Mega Man Battle Network 5: Double Team réunit deux jeux sur Nintendo DS, au préalable publiés sur Game Boy Advance, soit Mega Man Battle Network 5: Team Colonel et Mega Man Battle Network 5: Team Protoman.
Lan, un jeune garçon d'un futur proche, combattant du cyberespace, doit sauver l'espace cybernétique d'une domination totale. On a tramé un complot. Des cyber-terroristes ont pris d'assaut le monde virtuel sous les ordres du maléfique Dr Regal. Du même coup, les belligérants enlèvent le père de Lan, que celui-ci viydra sauver à tout prix. Décidément la belle banlieue utopique de Lan est prise de panique et d'une paranoïa cybernétique. Cette série se veut une représentation humoristique et visuelle d'Internet, un peu comme à l'instar de Johnny Mnemonic (espace cybernétique représentant l'abstraction des réseaux informatiques sous une forme de mode 3D interactif). De plus, il révèle un futur empreint de positivisme naïf à la Jetsons, mais tout en abordant des sujets propres au monde noir du cyberpunk. Lan et son avatar cybernétique Mega Man combattent les virus, les Navis et tous les autres méchants. Protoman et d'autres viennent donner un coup de main à Lan en cours de route.
Ce jeu combine plusieurs styles : stratégie tour à tour, jeu de rôle et même, à un moindre degré, celui d'un jeu d'aventure et d'énigmes. La courbe d'apprentissage des techniques de combat et de stratégie est plus ou moins longue, il faut choisir adéquatement les attaques spéciales à chaque tour de combat. Malheureusement, la sélection des attaques spéciales inclut un élément de hasard qui vient déranger la jouabilité du jeu. Le système de combat utilise les capacités du PET (Personal Terminal) de Lan, où il faut tenir compte de certaines ressources contenues, telles que la mémoire RAM disponible pouvant contenir les programmes. Lors des voyages cybernétiques de Lan aux confins d'Internet, celui-ci se voit confronté à des ennemis qui ne sont malheureusement pas visibles sur la représentation graphique du jeu. Donc, en jouant le jeu, nous devons faire face à des séances inattendues de combat.
Visuellement Megaman 5 BattleNetwork n'est pas très impressionnant et n'utilise pas les capacités graphiques de la Nintendo DS. Mise à part l'interface de navigation tactile, le jeu ressemble aux jeux parus sur Game Boy Advance. En outre, il se déroule sous une fausse perspective isométrique 3D, et ce, en utilisant des personnages eb 2D. Par contre, l'interface permettant de configurer son PET (pour lire ses courriels, choisir ses programmes, etc.) expose adéquatement les possibilités d'interaction. Le jeu comporte une histoire linéaire que nous devons suivre. Comme dans bien des jeux de rôle, il faut ici ramasser de nouvelles armes ou armures (dans ce cas-ci, des programmes d'attaque et de défense). Il n'y a rien de très nouveau, sauf le contexte cyber-futuriste. Le niveau de difficulté est assez facile au début, mais graduellement devient difficile. Comme dans certains jeux d'aventure, le jeu recèle parfois des énigmes de logique à résoudre, ce qui ajoute un élément intéressant, tuant ainsi la répétition de la jouabilité. La trame musicale rappelle la musique d'ascenseur des années 80, une espèce de synthpop puérile instrumentale qui finit par acérer les nerfs.
À moins que vous ne soyez un amateur de Mega Man, ne courrez pas acheter ce jeu. Bien que les développeurs aient essayés de fusionner plusieurs styles de jeu, le tout n'est pas très harmonieux. Par contre, le jeu offre plusieurs avancées intéressantes tout au long de son déroulement (force des attaques, nouveaux programmes, alliés), ce qui augmente le temps de jouabilité du jeu.
Lan, un jeune garçon d'un futur proche, combattant du cyberespace, doit sauver l'espace cybernétique d'une domination totale. On a tramé un complot. Des cyber-terroristes ont pris d'assaut le monde virtuel sous les ordres du maléfique Dr Regal. Du même coup, les belligérants enlèvent le père de Lan, que celui-ci viydra sauver à tout prix. Décidément la belle banlieue utopique de Lan est prise de panique et d'une paranoïa cybernétique. Cette série se veut une représentation humoristique et visuelle d'Internet, un peu comme à l'instar de Johnny Mnemonic (espace cybernétique représentant l'abstraction des réseaux informatiques sous une forme de mode 3D interactif). De plus, il révèle un futur empreint de positivisme naïf à la Jetsons, mais tout en abordant des sujets propres au monde noir du cyberpunk. Lan et son avatar cybernétique Mega Man combattent les virus, les Navis et tous les autres méchants. Protoman et d'autres viennent donner un coup de main à Lan en cours de route.
Ce jeu combine plusieurs styles : stratégie tour à tour, jeu de rôle et même, à un moindre degré, celui d'un jeu d'aventure et d'énigmes. La courbe d'apprentissage des techniques de combat et de stratégie est plus ou moins longue, il faut choisir adéquatement les attaques spéciales à chaque tour de combat. Malheureusement, la sélection des attaques spéciales inclut un élément de hasard qui vient déranger la jouabilité du jeu. Le système de combat utilise les capacités du PET (Personal Terminal) de Lan, où il faut tenir compte de certaines ressources contenues, telles que la mémoire RAM disponible pouvant contenir les programmes. Lors des voyages cybernétiques de Lan aux confins d'Internet, celui-ci se voit confronté à des ennemis qui ne sont malheureusement pas visibles sur la représentation graphique du jeu. Donc, en jouant le jeu, nous devons faire face à des séances inattendues de combat.
Visuellement Megaman 5 BattleNetwork n'est pas très impressionnant et n'utilise pas les capacités graphiques de la Nintendo DS. Mise à part l'interface de navigation tactile, le jeu ressemble aux jeux parus sur Game Boy Advance. En outre, il se déroule sous une fausse perspective isométrique 3D, et ce, en utilisant des personnages eb 2D. Par contre, l'interface permettant de configurer son PET (pour lire ses courriels, choisir ses programmes, etc.) expose adéquatement les possibilités d'interaction. Le jeu comporte une histoire linéaire que nous devons suivre. Comme dans bien des jeux de rôle, il faut ici ramasser de nouvelles armes ou armures (dans ce cas-ci, des programmes d'attaque et de défense). Il n'y a rien de très nouveau, sauf le contexte cyber-futuriste. Le niveau de difficulté est assez facile au début, mais graduellement devient difficile. Comme dans certains jeux d'aventure, le jeu recèle parfois des énigmes de logique à résoudre, ce qui ajoute un élément intéressant, tuant ainsi la répétition de la jouabilité. La trame musicale rappelle la musique d'ascenseur des années 80, une espèce de synthpop puérile instrumentale qui finit par acérer les nerfs.
