Dreamfall: The Longest Journey nous invite à prendre part à une aventure mêlant science-fiction et fantastique. Il s'agit de la suite du jeu The Longest Journey, paru en 2000 sur PC et qui avait été acclamé par la critique.
Vous ferez connaissance au départ avec Zoë Castillo, une jeune femme qui semble comblée par la vie, mais qui se cherche intérieurement. Un matin, elle reçoit un message presque subliminal sur l'écran de son téléviseur ! Une petite fille au teint pâle la supplie de sauver une femme, qui lui est inconnue, se nommant April Ryan. En après-midi, elle rencontre son ancien ami de cœur, un journaliste aventureux, qui a fait une découverte mystérieuse et importante. À la fin de la journée, celui-ci est également porté disparu. Zoë devra s'embarquer dans un long périple à travers le monde tel qu'on le connaît mais aussi dans un monde parallèle fusionnant rêve et réalité. Telles sont les prémisses de ce jeu d'aventure disponible sur Xbox et PC. Le jeu sera disponible en français sur PC dès le début du mois de juin.
Au cours de cette aventure, vous aurez l'opportunité de contrôler April Ryan, une rebelle se trouvant dans le monde parallèle et Kian, un assassin servant l'ordre religieux de ce même monde. Vous explorerez grâce à eux des mondes envoûtants, variés et colorés. L'histoire et les moyens utilisés pour la raconter sont les forces principales de Dreamfall. Elle est complexe, bien ficelée et remplie de subtilités. Les personnages possèdent une profondeur rarement rencontrée dans les jeux vidéo. Ils sont souvent drôles, attachants ou même plaisants à détester. Quelques clichés sont à prévoir, mais rien de très important. Les dialogues abondent et heureusement, ceux-ci sont savoureux tellement ils sont bien écrits. Les voix des personnages s'avèrent tout simplement remarquables et la trame sonore nous hypnotise du début à la fin.
Durant les dialogues, vous devrez prendre des décisions qui amènent à des réflexions intéressantes. Par contre, ces décisions ne modifient pas de manière drastique le parcours de l'histoire. Fait important à noter : il n'est pas nécessaire d'avoir joué au premier épisode puisque Dreamfall se tient très bien. Malheureusement, quelques éléments négatifs viennent entacher une fiche jusqu'à maintenant très impressionnante. Le système de combat est plutôt rudimentaire et tous les affrontements se ressemblent. Certaines séquences d'espionnage se contrôlent maladroitement. Heureusement, ces deux aspects ne sont présents qu'à quelques occasions, le jeu mettant beaucoup plus l'emphase sur l'histoire et les dialogues.
Les casse-tête sont parfois simples et faciles à résoudre, ou au contraire, ils sont parfois nébuleux, empêchant ainsi le joueur de progresser. Certaines animations d'ennemis sont affreuses et présentent des bogues de transitions. Il y a également quelques bogues d'interface qui auraient dus êtres repérés lors des tests de qualité ! La caméra, même en choisissant le mode pour qu'elle suive automatiquement le joueur dans les options, prend du temps à se placer derrière le joueur lorsqu'il tourne. Tous ces détails font transparaître un manque de finition contrastant avec la finesse de la direction artistique, tout simplement époustouflante.
Dreamfall se démarque par ses qualités de production plus que par sa jouabilité. L'amateur d'aventure ne sera donc pas entièrement comblé mais aura tout de même vécu une expérience mémorable grâce à des personnages, des environnements et des ambiances sonores à la fois vivants et envoûtants.
Vous ferez connaissance au départ avec Zoë Castillo, une jeune femme qui semble comblée par la vie, mais qui se cherche intérieurement. Un matin, elle reçoit un message presque subliminal sur l'écran de son téléviseur ! Une petite fille au teint pâle la supplie de sauver une femme, qui lui est inconnue, se nommant April Ryan. En après-midi, elle rencontre son ancien ami de cœur, un journaliste aventureux, qui a fait une découverte mystérieuse et importante. À la fin de la journée, celui-ci est également porté disparu. Zoë devra s'embarquer dans un long périple à travers le monde tel qu'on le connaît mais aussi dans un monde parallèle fusionnant rêve et réalité. Telles sont les prémisses de ce jeu d'aventure disponible sur Xbox et PC. Le jeu sera disponible en français sur PC dès le début du mois de juin.
Au cours de cette aventure, vous aurez l'opportunité de contrôler April Ryan, une rebelle se trouvant dans le monde parallèle et Kian, un assassin servant l'ordre religieux de ce même monde. Vous explorerez grâce à eux des mondes envoûtants, variés et colorés. L'histoire et les moyens utilisés pour la raconter sont les forces principales de Dreamfall. Elle est complexe, bien ficelée et remplie de subtilités. Les personnages possèdent une profondeur rarement rencontrée dans les jeux vidéo. Ils sont souvent drôles, attachants ou même plaisants à détester. Quelques clichés sont à prévoir, mais rien de très important. Les dialogues abondent et heureusement, ceux-ci sont savoureux tellement ils sont bien écrits. Les voix des personnages s'avèrent tout simplement remarquables et la trame sonore nous hypnotise du début à la fin.
Durant les dialogues, vous devrez prendre des décisions qui amènent à des réflexions intéressantes. Par contre, ces décisions ne modifient pas de manière drastique le parcours de l'histoire. Fait important à noter : il n'est pas nécessaire d'avoir joué au premier épisode puisque Dreamfall se tient très bien. Malheureusement, quelques éléments négatifs viennent entacher une fiche jusqu'à maintenant très impressionnante. Le système de combat est plutôt rudimentaire et tous les affrontements se ressemblent. Certaines séquences d'espionnage se contrôlent maladroitement. Heureusement, ces deux aspects ne sont présents qu'à quelques occasions, le jeu mettant beaucoup plus l'emphase sur l'histoire et les dialogues. 
Les casse-tête sont parfois simples et faciles à résoudre, ou au contraire, ils sont parfois nébuleux, empêchant ainsi le joueur de progresser. Certaines animations d'ennemis sont affreuses et présentent des bogues de transitions. Il y a également quelques bogues d'interface qui auraient dus êtres repérés lors des tests de qualité ! La caméra, même en choisissant le mode pour qu'elle suive automatiquement le joueur dans les options, prend du temps à se placer derrière le joueur lorsqu'il tourne. Tous ces détails font transparaître un manque de finition contrastant avec la finesse de la direction artistique, tout simplement époustouflante.
