Paradise marque le retour de Benoît Sokal, un auteur reconnu dans le domaine de la bande dessinée et dans le domaine du jeu vidéo, avez l'Amerzone et Sybéria. Il nous offre une aventure dans une Afrique mystérieuse.
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Mauranie, Afrique. La révolution gronde et menace le pouvoir du Roi Rodon. Alors qu'elle s'apprête à rejoindre son père, le Roi, Ann Smith est victime d'un accident d'avion. Si elle survit au drame, c'est au prix de sa mémoire. Vous incarnez Ann Smith. En compagnie d'un léopard noir comme la nuit rencontré après votre accident, préparez-vous à un voyage fantastique au cœur d'une Afrique fantasmée, envoûtante et toujours mystérieuse. Telles sont les prémisses de Paradise, publié en version française par Micro Application et distribué au Québec par DLL Presse Diffusion. Imaginé par Benoît Sokal, Paradise est un jeu d'aventure qui plonge le joueur au coeur d'une Afrique à la fois éternelle et terriblement contemporaine. Une jeune femme, fille d'un dictateur féroce, traverse tout le continent en compagnie d'un léopard, afin de ramener celui-ci sur la terre de sa naissance...
Il s'agit du premier jeu de White Bird Productions, un studio fondé en Août 2003 par par quatre professionnels de l'édition interactive, dont les contenus développés sont conçus pour être déclinés vers plusieurs sphères d'édition complémentaires: jeux vidéo, bande dessinée, audiovisuel, Internet, multimédia, etc. Paradise cible un auditoire de joueurs occasionnels. Visuellement, le jeu s'apparente à Sybéria, l'héroïne évolue dans des décors prérendus alors que des scènes cinématiques font évoluer l'histoire. Le jeu contient très peu d'effets visuels, mis à part quelques effets de particules élémentaires et d'effets d'ombre très rudimentaires. Dans l'ensemble, la facture visuelle du jeu est agréable.
Paradise étant un jeu d'aventure traditionnel, vous devrez donc à évoluer dans une multitude d'environnements, où vous devrez chercher des indices et des objets bien cachés, rencontrer des personnages, résoudre des énigmes, etc. Le déroulement du jeu est d'une linéarité et d'une facilité déconcertante. Ajoutez à cela que l'aventure n'est pas particulièrement palpitante (tout le contraire de Sybéria), et vous comprendrez la déception des adeptes du genre. Ce qui vient gâcher le tout, ce sont les nombreux bogues du jeu (animations saccadées, dialogues erronés, erreurs dans l'inventaire, déplacements d'Ann incorrects, disparition du curseur).
Si Sybéria avait su river les joueurs sur leur écran, grâce à son histoire intriguante et ses qualités de production en haut de la moyenne, Paradise ne peut que décevoir, le jeu n'étant pas du tout prenant, en plus d'être truffé de bogues regrettables. C'est d'autant plus dommage car l'univers imaginé par Benoît Sokal avait beaucoup de potentiel.
Mauranie, Afrique. La révolution gronde et menace le pouvoir du Roi Rodon. Alors qu'elle s'apprête à rejoindre son père, le Roi, Ann Smith est victime d'un accident d'avion. Si elle survit au drame, c'est au prix de sa mémoire. Vous incarnez Ann Smith. En compagnie d'un léopard noir comme la nuit rencontré après votre accident, préparez-vous à un voyage fantastique au cœur d'une Afrique fantasmée, envoûtante et toujours mystérieuse. Telles sont les prémisses de Paradise, publié en version française par Micro Application et distribué au Québec par DLL Presse Diffusion. Imaginé par Benoît Sokal, Paradise est un jeu d'aventure qui plonge le joueur au coeur d'une Afrique à la fois éternelle et terriblement contemporaine. Une jeune femme, fille d'un dictateur féroce, traverse tout le continent en compagnie d'un léopard, afin de ramener celui-ci sur la terre de sa naissance... 
Il s'agit du premier jeu de White Bird Productions, un studio fondé en Août 2003 par par quatre professionnels de l'édition interactive, dont les contenus développés sont conçus pour être déclinés vers plusieurs sphères d'édition complémentaires: jeux vidéo, bande dessinée, audiovisuel, Internet, multimédia, etc. Paradise cible un auditoire de joueurs occasionnels. Visuellement, le jeu s'apparente à Sybéria, l'héroïne évolue dans des décors prérendus alors que des scènes cinématiques font évoluer l'histoire. Le jeu contient très peu d'effets visuels, mis à part quelques effets de particules élémentaires et d'effets d'ombre très rudimentaires. Dans l'ensemble, la facture visuelle du jeu est agréable.
Paradise étant un jeu d'aventure traditionnel, vous devrez donc à évoluer dans une multitude d'environnements, où vous devrez chercher des indices et des objets bien cachés, rencontrer des personnages, résoudre des énigmes, etc. Le déroulement du jeu est d'une linéarité et d'une facilité déconcertante. Ajoutez à cela que l'aventure n'est pas particulièrement palpitante (tout le contraire de Sybéria), et vous comprendrez la déception des adeptes du genre. Ce qui vient gâcher le tout, ce sont les nombreux bogues du jeu (animations saccadées, dialogues erronés, erreurs dans l'inventaire, déplacements d'Ann incorrects, disparition du curseur). 
