Le palmarès des meilleurs jeux de l'année présenté par JOUEZ.com étant désormais connu, voici maintenant les cinq jeux les plus nuls parus cette année. Surprise, ils n'ont rien en commun, sinon leur médiocrité.
Chaque année, des centaines de jeux vidéo se fraient un chemin jusqu'aux consommateurs. Ces derniers sont pour la plupart des joueurs occasionnels, ils lisent peu de magazines et sites Web spécialisés et font donc parfois des choix moins réfléchis lorsque vient le temps d'acheter un nouveau jeu. Certains éditeurs de jeux vidéo en profitent pour publier des titres de piètre qualité. Qu'il s'agisse d'un jeu reposant sur des mécanique de jeu archi-nulles, ou d'un jeu inachevé truffé de bogues, ces jeux aboutissent néanmoins entre les mains de joueurs occasionnels.
Les joueurs plus motivés, qui consultent avec beaucoup d'intérêt les critiques de jeux vidéo avant d'effectuer un achat ou même un location, évitent généralement ces désagréables surprises. A ce propos, si vous doutez parfois, de la neutralité ce certains médias (en particulier des sites web), vous pouvez toujours consulter des sites qui références les notes de plusieurs sites, comme Game Rankings ou encore metacritic. Ces sites vous aideront à éviter bien des jeux médiocres, mais vous permettront aussi de découvrir de belles surprises.
Sans plus tarder, voici les cinq pires jeux de l'année, élus par un jury composé des spécialistes québécois du jeu vidéo. Il s'agit de 50 Cent: Bulletproof G-Unit Edition (Sierra, PSP), un jeu de tir que Sierra a osé republier sur PSP, dans une édition dotée d'une nouvelle perspective, plus ou moins adaptée à la console portable de Sony, mais reposant toujours sur la même histoire insipide (identique aux versions Xbox et PS2 de l'an dernier), de 25 to Life (Eidos, PC/Xbox/PS2), un jeu rempli de clichés et truffé de bogues, permettant d'incarner des gangsters ou des flics s'entretuant, qui devait à l'origine être publié par la défunte société Acclaim, de Torino 2006 - the Official Video Game of the XX Olympic Winter Games (2K Sports, PC/Xbox/PS2), qui démontre encore que les jeux vidéo sur les Jeux Olympiques ont cessé d'évoluer au niveau de la jouabilité depuis l'ère du Commodore 64, de Bomberman: Act Zero (Konami, Xbox 360), une version moderne du classique de Hudson Soft, mais où les petits Bombers colorés ont été remplacés par des brutes sorties tout droit d'un univers cyberpunk et de Family Guy (2K Games, Xbox/PS2/PSP), un jeu ennuyeux, qui ne fait pas bon usage des personnages (et acteurs) de la série, et qui offreaussi des mini-jeux peu inspirés.
D'autres jeux ont déplu au jury du Palmarès JOUEZ.com des meilleurs jeux de 2006, à savoir: Gangs of London, Rampage: Total Destruction, Reservoir Dogs, The Sopranos: Road to Respect, True Crime: New York City, Ford Bold Moves Street Racing, Over G Fighters, Superman Returns: The Videogame, Top Gun, Genji: Days of the Blade, Spy Hunter: Nowhere to Run, Super Monkey Ball Adventure, Samurai Warriors 2, Star Trek: Encounters, Import Tuner Challenge, Pirates of the Caribbean: The Legend of Jack Sparrow, Tom Clancy's Splinter Cell Essentials et American McGee Presents Bad Day LA.
par François Taddei
j'aime le billetproof et je passe mon temps a joué la dans,je ne suis pas fans de 50 mais ce clair je tripe trop
Je ne voit pas le jeu de Crazy Frog, le pire jeu de l'année depuis 2 ans sur JV.com... LOL
Mathieu, c'est justement parce qu'il est paru il y a deux ans qu'il n'est pas dans la liste.
Moi personellement mon pire jeu que j'ai jouer cette année c'est Import Tuner Challenge sur 360, C'est vraiment nul comme conduite, les graphiques,le son, La maniere de gagnée des Course, On peux etre premiere Toute le long de la courses mes la perde Pareil!
En effet, le jeu de Crazy frog est vraiment un des plus grands nuls parmis les jeux nuls. Par contre, pour moi, le jeu de 50 cents reste réellement un des plus grands flops de l'année. Ils nous envoient vraiment n'importe quoi quelques fois.. Je ne sais pas à quoi Sierra a pensé :(
Sierra n'a pensé qu'à une chose: faire du fric!