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En développement depuis plus de cinq ans, S.T.A.L.K.E.R.: Shadow Of Chernobyl est désormais disponible, grâce à la persévérance du développeur ukrainien GSC Game World. Le jeu s'inspire notamment de la célèbre catastrophe du 26 avril 1986 et se déroule en grande partie à proximité de la centrale Lénine à Tchernobyl.
Nous sommes en 2012. L'homme s'aventure de plus en plus loin au cœur de la Zone, appâté par des rapports mentionnant d'étranges artefacts imprégnés d'une énergie anormale. Pendant que mercenaires et chasseurs de primes se battent pour mettre la main sur ces artefacts, qu'ils revendent ensuite à des prix exorbitants au marché noir, certains cherchent à savoir ce qui se passe réellement dans la Zone, et d'autres profitent de l'anarchie pour s'en donner à cœur joie. Quelles que soient leurs motivations, on a fini par appeler ces individus des S.T.A.L.K.E.R., acronyme de Scavengers (charognards), Trespassers (intrus), Adventurers (aventuriers), Loners (solitaires), Killer (meurtriers), Explorers (explorateurs) et Robbers (voleurs).
Ce jeu de tir à la première personne débute alors que vous vous réveillez dans la Zone. Vous êtes un S.T.A.L.K.E.R. Vous vous battez pour votre survie dans cet enfer sur Terre et vous vous efforcez de révéler au grand jour les secrets que renferment le passé sinistre et l'avenir inquiétant de Tchernobyl. Telles sont les prémisses de ce jeu qui semble bien accueilli par la critique.
par François Taddei
