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Le 10 novembre prochain, Infinity Ward nous proposera sur PC, Xbox 360 et PlayStation 3 une suite au quatrième opus de la populaire série Call of Duty. Modern Warfare 2 replongera les joueurs dans des guerres modernes, où les terroristes et les trafiquants seront les principales factions ennemies.
Dans Modern Warfare, la Russie était en pleine guerre civile. Chef des rebelles ultra-nationalistes, Zakhaev tenta de s'emparer des missiles nucléaires russes pour les diriger contre les États-Unis. L'équipe de SAS et de marines américains dirigée par le Capitaine Price l'arrêta à temps, et l'élimina. Quelques années plus tard, un nouveau chef, Vladimir Makarov, s'empare d'un stock d'armes important en Russie, profitant de l'instabilité politique dans le pays. La communauté internationale envoie la Task Force 121 fournie en informations par la CIA, afin de déjouer les plans dangereux de ce dernier. Seul survivant de l'opération américano-britannique du précédent épisode, le Capitaine "Soap" MacTavish et son homme sont envoyés en mission dans les montagnes enneigées du Kazakhstan. La Task Force 121 sera également amené à effectuer des opérations au Brésil (notamment à Rio de Janeiro) et en Afghanistan.
Dans la campagne solo de Modern Warfare 2, les niveaux seront plus ouverts mais ne seront pas pour autant moins spectaculaires: des ralentis dramatiques viendront ponctuer les moments d'actions intenses. Comme d'habitude, le joueur aura le contrôle du personnage à tout moment, de l'escalade avec des piolets jusqu'à la conduite d'une motoneige en tirant sur les ennemis. Le jeu mettra également en scène des situations difficiles tels qu'un combat en pleine favela brésilien alors que des civils fuient l'affrontement. Les ennemis feront partie d'une milice locale protégeant la cible: un trafiquant d'arme. Il faudra distinguer ces miliciens des habitants qui ne doivent évidemment pas être touchés. Une chose est sûre, la première bande annonce, qui a été diffusée ce week-end durant la finale de la Conférence Est de NBA à la télévision, donne sérieusement envie:
par François Taddei
