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Syndicate, qui a marqué l'imaginaire des joueurs en 1993, en mêlant action et stratégie en temps réel dans un univers futuriste à l'ambiance cyberpunk, aura doit à un nouvel opus bien différent.
Aujourd'hui, EA et Starbreeze ont confirmé une rumeur qui planait depuis plusieurs mois, à savoir que la franchise Syndicate effectuera un retour sur PC, Xbox 360 et PS3 au début de 2012. Si les nostalgiques seront déçus d'apprendre que ce nouvel opus sera un jeu de tir à la première personne, au même titre que le nouvel opus de X-COM, les amateurs du genre devraient toutefois se réjouir que Starbreeze en soit le développeur, ce studio nous ayant offert dans le passé des titres de qualité tels que The Chronicles of Riddick et The Darkness. Cette nouvelle interprétation de Syndicate se déroulera dans un futur proche et dans une ambiance de science-fiction où affaires riment avec guerres. Les joueurs incarneront Miles Kilo, le tout dernier agent prototype d'Eurocorp, pour vivre une aventure où tout n'est que corruption et vengeance.
En cette année 2069, Syndicate plonge les joueurs dans un univers sombre et machiavélique où les autorités sont peu regardantes vis-à -vis des nombreux syndicats qui cherchent à dominer leur marché local. Jouissant d'une liberté quasi-totale, tant dans leurs intentions que dans leurs actions, trois gigantesques conglomérats - Eurocorp, Cayman Global, et Aspari - occupent les avant-postes de cette guerre brutale pour le contrôle du tout-puissant marché américain. Dans l'univers de Syndicate, tout est connecté numériquement, même les individus. Les joueurs ne se résument pas aux armes qu'ils portent. Grâce à la puce DART 6 implantée dans leur cerveau, les joueurs peuvent ralentir le temps et pirater le monde numérique qui les entoure pour mettre hors d'état de nuire leurs ennemis par le biais d'outils de piratage évolutifs.
Si vous avez donc apprécié Deus Ex: Human Revolution, ce titre est donc à surveiller. Et pour les nostalgiques du jeu original, voici un portrait de ce jeu, réalisé par Matt Barton:
par François Taddei
